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Francisco VARON

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Forbach

Un manoir à l'abandon. Une sinistre corbetière, peuplée de freux monstrueux. Des disparus. Une grotte au cœur de laquelle est dessiné un abject Prisonnier découronné. Un secret se perdant dans la nuit des temps… Avec « Forbach », nouvelle couronnée par le prix des lecteurs Bifrost 2014, Thomas Day transplante l'horreur cosmique de Lovecraft en Lorraine.

Épuisé  

Le Réveil des hommes blancs

Éclairée par trois soleils, la planète Teirstern connaît de fortes variations climatiques au fil des siècles. C’est cependant sur cet astre que les humains ont implanté une colonie, une première génération avant un peuplement plus important. La vie y est inhospitalière, les plantations peinent à pousser, mais tout semble aller dans la bonne direction. Sauf que… les humains ne sont pas seuls sur Teirstern. Tout laisse à croire qu’une autre race l’habite…

Épuisé  

Bifrost n° 69

La cabine de bain était une navette spatiale, le ventre d’une géante. Il s’allongea. L’épais tapis de sol était moelleux comme un placenta. Il n’avait pas quitté cette cabine depuis deux jours... trois ? Il ne savait plus et ça n’avait guère d’importance. Bon, il n’avait plus de coke et l’héro touchait à sa fin, mais il lui restait encore un peu d’herbe et il venait de trouver un acide au fond de sa poche. Il le posa sur sa langue et éprouva une sensation bizarre. Comme s’il suçait une étoile. Il était en apesanteur. La cabine flottait dans l’espace.

Il eut soudain un haut le cœur.

La cabine s’était mise à tanguer.

Brian mit une main devant sa bouche. Il était à deux doigts de vomir et se dit que l’espace était constitué de vide et d’étoiles. Il n’y avait pas de vagues. Pas de tempête. Il tomba à genoux. Son ventre rugissait. Bordel, Phil Spector, toujours planqué derrière son putain de mur du son, s’était débrouillé pour lui refiler un acide empoisonné !

Jacques Barbéri
Cabinessence ou la vie de Brian

11,00 €   Ajouter au panier

Bifrost n° 69

La cabine de bain était une navette spatiale, le ventre d’une géante. Il s’allongea. L’épais tapis de sol était moelleux comme un placenta. Il n’avait pas quitté cette cabine depuis deux jours... trois ? Il ne savait plus et ça n’avait guère d’importance. Bon, il n’avait plus de coke et l’héro touchait à sa fin, mais il lui restait encore un peu d’herbe et il venait de trouver un acide au fond de sa poche. Il le posa sur sa langue et éprouva une sensation bizarre. Comme s’il suçait une étoile. Il était en apesanteur. La cabine flottait dans l’espace.

Il eut soudain un haut le cœur.

La cabine s’était mise à tanguer.

Brian mit une main devant sa bouche. Il était à deux doigts de vomir et se dit que l’espace était constitué de vide et d’étoiles. Il n’y avait pas de vagues. Pas de tempête. Il tomba à genoux. Son ventre rugissait. Bordel, Phil Spector, toujours planqué derrière son putain de mur du son, s’était débrouillé pour lui refiler un acide empoisonné !

Jacques Barbéri
Cabinessence ou la vie de Brian

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