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Olivier JUBO

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Hors-série Une Heure-Lumière 2024

Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…
C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.
Si Une heure-lumière célèbre les horizons nouveaux, nos hors-séries fêtent Une heure-lumière et ses auteurs emblématiques.
Et cette année le Canadien Rich Larson, dont les fidèles de la collection n’ont pu manquer Barbares, space opera punk et débridé qui réinvente le récit d’aventure spatiale à grand renfort d’idées et d’images fortes.
Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !

Rich Larson est né au Niger. S’il a vécu aux états-Unis, en Afrique du Sud, en Espagne ou à Prague, il a pour l’heure posé ses valises à Montréal. Depuis ses débuts en 2011, il a publié plus de deux cents nouvelles, souvent reprises dans les Year’s Best les plus prestigieux du domaine, et saluées par plusieurs prix de lecteurs. En France, le recueil La Fabrique des lendemains (Le Bélial’, 2020) a d’emblée raflé le Grand Prix de l’Imaginaire, avant que le roman Ymir (Le Bélial’, 2022) confirme le stupéfiant talent de cet auteur de 32 ans désormais considéré comme le fer de lance d’une SF post-eganienne survitaminée qui pulvérise les codes du genre.

Hors commerce  

Hors-série Une Heure-Lumière 2024

Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…
C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.
Si Une heure-lumière célèbre les horizons nouveaux, nos hors-séries fêtent Une heure-lumière et ses auteurs emblématiques.
Et cette année le Canadien Rich Larson, dont les fidèles de la collection n’ont pu manquer Barbares, space opera punk et débridé qui réinvente le récit d’aventure spatiale à grand renfort d’idées et d’images fortes.
Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !

Rich Larson est né au Niger. S’il a vécu aux états-Unis, en Afrique du Sud, en Espagne ou à Prague, il a pour l’heure posé ses valises à Montréal. Depuis ses débuts en 2011, il a publié plus de deux cents nouvelles, souvent reprises dans les Year’s Best les plus prestigieux du domaine, et saluées par plusieurs prix de lecteurs. En France, le recueil La Fabrique des lendemains (Le Bélial’, 2020) a d’emblée raflé le Grand Prix de l’Imaginaire, avant que le roman Ymir (Le Bélial’, 2022) confirme le stupéfiant talent de cet auteur de 32 ans désormais considéré comme le fer de lance d’une SF post-eganienne survitaminée qui pulvérise les codes du genre.

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Demande d'extraction

« Quand ils arrivent enfin à soulever l’aile encore fumante du transport de troupes et à extirper Beasley qui s’y trouvait coincé, Eliott et les autres restent muets, le regard fixe. Le bras maigre et nerveux sous les tatouages bioluminescents est presque arraché ; au-dessous des hanches, il ne reste plus qu’un haché de chair et d’éclats d’os. »

L'escouade de soldats et de bagnards d’Elliot s’écrase au milieu d'un marais sur une planète étrangère, à des années-lumière de toute aide. Les récupérer ne semble pas être une priorité. Surtout, il y a a quelque chose d’autre dans ces marécages. Quelque chose qui les prend, un par un… Une nouvelle nerveuse, à la brutalité viscérale, par l’auteur de La Fabrique des lendemains.

Épuisé  

Je vous ai donné toute herbe

Une planète lointaine. Une colonie. Une intelligence artificielle. Celle-ci veille depuis des siècles à la bonne marche de la terraformation, de sorte que les humains évoluent dans le meilleur environnement possible : la Zone. Au-delà, c’est l’Extérieur, aride et austère. Mais Dan, dont la compagne se prépare à accoucher de leur premier enfant, se questionne sur son monde…

Une nouvelle sensible par l’auteur du cycle de Lanmeur, récompensée par le Prix des lecteurs de Bifrost.

« Le texte est superbe, profondément humaniste et nous pousse à réfléchir. » – Lhisbei

« C’est beau, du Léourier tel qu’on l’apprécie. » – La Yozone

« Un texte très bien écrit avec pas mal de questionnements et de sensibilité. » – Célindanaé

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Aleph Zéro

« Dans la vitre du train, j’aperçois mon reflet sur fond de nuit, mes yeux trop grands, globuleux. Mes antennes qui frétillent. Sur le dos de la main de Rebecca, deux cicatrices rondes comme la lune, ombres claires sur la peau blanche. »

Un trajet en train. Un procédé mystérieux. Deux agents qui ne le sont pas moins. D’autres réalités, peut-être. Et un homard. (Si cela vous paraît flou, imaginez Mathieu Amalric dans le rôle du crustacé et Romain Duris dans le rôle du siège de train.)

Alors que Symposium, Inc. d’Olivier Caruso est en librairie depuis une poignée de jours, nous vous proposons de (re)découvrir l’auteur avec « Aleph Zéro », sa première — et déjantée — nouvelle parue dans les pages de Bifrost.

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Guide sorcier de l'évasion : atlas des contrées réelles et imaginaires

« Sans doute pensez-vous que voir un gamin emprunter le même livre un million de fois d’affilée nous ravirait. La vérité, c’est que ça nous empêcherait plutôt de dormir. »

C'est le cas de cette bibliothécaire du comté de Maysville, quelque part dans le Sud des États-Unis, qui voit ce même ado traîner dans les rayonnages. Il n'y a jamais eu que deux sortes de bibliothécaires : les vieilles revêches persuadées que les livres sont leur propriété personnelle, et les sorcières. Appartenant à la seconde catégorie, cette bibliothécaire a peut-être la possibilité d'aider le jeune homme…

Avec ce « Guide sorcier de l’évasion… », Alix E. Harrow nous offre une nouvelle sensible célébrant l'amour des bibliothèques et le pouvoir de la littérature, récompensée par le Prix Hugo 2019 ainsi que, récompensée par le Prix Hugo 2020… et aussi par le Prix des lecteurs de Bifrost 2020.

Épuisé  

Pour toujours l'humanité

« Les précédentes missions Apollo nous avaient permis de répéter chaque étape en environnement réel. Tout avait été vérifié, contrôlé. Nous savions faire les choses et nous savions que nous le savions. Ne restait qu’une incertitude : le redécollage d’Eagle. »

Afin de célébrer le cinquantenaire de l'alunissage d'Apollo 11 et la parution du Bifrost 95 spécial Lune, nous vous invitons à (re)découvrir « Pour toujours l'humanité ». Léo Henry déploie dans cette nouvelle uchronique une ambiance étrange et décalée, une certaine nostalgie, une écriture au cordeau… avec la lune en ligne de mire.

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Voyage avec l'extraterrestre

« Il fallait l’admettre, les vaisseaux extraterrestres étaient beaux : des dômes en superpositions de plaques chitineuses aux couleurs d’aurore perlée, tels des reflets sur une mer d’huile. Ils avaient surgi une nuit, dix structures incongrues, bulles de savon éparpillées au-dessus du continent nord-américain. L’un bloquait une autoroute de l’Ohio, un autre monopolisait le parking d’un stade de Tulsa, mais la plupart se dressaient dans un champ de maïs, une forêt, un désert, autant d’endroits où ils ne dérangeaient guère. »

Les aliens sont arrivés mais le monde n'en a pas été changé. Venus en paix, sans exigence ni questions, les visiteurs d'outre-espace se content de rester à bord de leurs astronefs et n'ont d'autre contact avec l'humanité que leurs impassibles traducteurs humains. Conductrice d'un van de tournée, Avery reçoit un jour une proposition pour un job des plus particuliers : transporter un de ces extraterrestres et son traducteur à travers les USA…

Dans « Voyage avec l'extraterrestre », Carolyn Ives Gilman nous offre une nouvelle pleine de subtilité sur la communication et la nature de la conscience…

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Comment c'est là-haut ?

Comment c'est là-haut ? Comment c'est sur Mars ? Frank revient de la deuxième expédition martienne et il sait que la réalité n'est pas rose. Faut-il pour autant abandonner le rêve de la conquête spatiale ? Un texte poignant par l'un des maîtres de l'Âge d'or de la science-fiction, couronné par le Prix des Lecteurs de Bifrost 2018.

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La Confirmation

Cinquante-sept ans après le Satori, qui a provoqué la disparition des trois-quarts de l'humanité, les survivants continuent de s'organiser, vaille que vaille. Mais dans les Cévennes rôde la terrifiante Dame des moissons… Dans la lignée de Anamnèse de Lady Star, Laurent Kloetzer continue avec La Confirmation de bâtir sa description toute personnelle d'un futur post-apocalyptique à nul autre pareil. Nous voilà prévenus.

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Bifrost n° 116
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