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En cette fin de XXIe siècle, l’humanité s’est établie sur Mars et Vénus. Mais pour la Terre surpeuplée, cela ne suffit pas : il faut déverrouiller la porte des étoiles. Une porte dont la clef semble aux mains des Vorsters, les adorateurs de l’atome : leur réacteur au cobalt 60 brille de mille feux sur chaque autel de leur église en pleine expansion. D’autant qu’ils pourraient bien aussi avoir percé le plus convoité des secrets, rien moins que l’immortalité… Sauf si les Harmonistes, des hérétiques, ne rebattent les cartes, au risque de définitivement condamner le chemin de l’espace…
Robert Silverberg est né à New York en 1935. Immense figure de la science-fiction mondiale, d’une notoriété semblable à celle d’un Ray Bradbury ou d’un Isaac Asimov, avec lequel il collabora d’ailleurs à plusieurs reprises, il est aussi à l’aise dans le domaine de la nouvelle que dans celui du roman. On lui doit certains des chefs-d’œuvre les plus considérables du genre — Le Livre des crânes, L’Homme dans le labyrinthe, L’Oreille interne ou encore le cycle de « Majipoor ».
En cette fin de XXIe siècle, l’humanité s’est établie sur Mars et Vénus. Mais pour la Terre surpeuplée, cela ne suffit pas : il faut déverrouiller la porte des étoiles. Une porte dont la clef semble aux mains des Vorsters, les adorateurs de l’atome : leur réacteur au cobalt 60 brille de mille feux sur chaque autel de leur église en pleine expansion. D’autant qu’ils pourraient bien aussi avoir percé le plus convoité des secrets, rien moins que l’immortalité… Sauf si les Harmonistes, des hérétiques, ne rebattent les cartes, au risque de définitivement condamner le chemin de l’espace…
Robert Silverberg est né à New York en 1935. Immense figure de la science-fiction mondiale, d’une notoriété semblable à celle d’un Ray Bradbury ou d’un Isaac Asimov, avec lequel il collabora d’ailleurs à plusieurs reprises, il est aussi à l’aise dans le domaine de la nouvelle que dans celui du roman. On lui doit certains des chefs-d’œuvre les plus considérables du genre — Le Livre des crânes, L’Homme dans le labyrinthe, L’Oreille interne ou encore le cycle de « Majipoor ».
Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…
C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.
Si Une heure-lumière célèbre les horizons nouveaux, nos hors-séries fêtent Une heure-lumière et ses auteurs emblématiques.
Et cette année le Canadien Rich Larson, dont les fidèles de la collection n’ont pu manquer Barbares, space opera punk et débridé qui réinvente le récit d’aventure spatiale à grand renfort d’idées et d’images fortes.
Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !
Rich Larson est né au Niger. S’il a vécu aux états-Unis, en Afrique du Sud, en Espagne ou à Prague, il a pour l’heure posé ses valises à Montréal. Depuis ses débuts en 2011, il a publié plus de deux cents nouvelles, souvent reprises dans les Year’s Best les plus prestigieux du domaine, et saluées par plusieurs prix de lecteurs. En France, le recueil La Fabrique des lendemains (Le Bélial’, 2020) a d’emblée raflé le Grand Prix de l’Imaginaire, avant que le roman Ymir (Le Bélial’, 2022) confirme le stupéfiant talent de cet auteur de 32 ans désormais considéré comme le fer de lance d’une SF post-eganienne survitaminée qui pulvérise les codes du genre.
Hors commerce
Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…
C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.
Si Une heure-lumière célèbre les horizons nouveaux, nos hors-séries fêtent Une heure-lumière et ses auteurs emblématiques.
Et cette année le Canadien Rich Larson, dont les fidèles de la collection n’ont pu manquer Barbares, space opera punk et débridé qui réinvente le récit d’aventure spatiale à grand renfort d’idées et d’images fortes.
Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !
Rich Larson est né au Niger. S’il a vécu aux états-Unis, en Afrique du Sud, en Espagne ou à Prague, il a pour l’heure posé ses valises à Montréal. Depuis ses débuts en 2011, il a publié plus de deux cents nouvelles, souvent reprises dans les Year’s Best les plus prestigieux du domaine, et saluées par plusieurs prix de lecteurs. En France, le recueil La Fabrique des lendemains (Le Bélial’, 2020) a d’emblée raflé le Grand Prix de l’Imaginaire, avant que le roman Ymir (Le Bélial’, 2022) confirme le stupéfiant talent de cet auteur de 32 ans désormais considéré comme le fer de lance d’une SF post-eganienne survitaminée qui pulvérise les codes du genre.
Hors commerce
Paolo Bacigalupi, Terry Bisson, Jean-Claude Dunyach, Greg Egan, Yves Frémion, Laurent Genefort, Nancy Kress, Sylvie Lainé, Wildy Petoud, Lisa Tuttle… … sont les Architectes du vertige.
Cinquante années de Grand Prix de l’Imaginaire.
Dix textes sélectionnés parmi les lauréats du plus prestigieux des prix littéraires dédiés à la science-fiction, au fantastique et à la fantasy. Dix récits du vertige et de l’émerveillement.
Une anthologie anniversaire au faîte d’un monument.
Paolo Bacigalupi, Terry Bisson, Jean-Claude Dunyach, Greg Egan, Yves Frémion, Laurent Genefort, Nancy Kress, Sylvie Lainé, Wildy Petoud, Lisa Tuttle… … sont les Architectes du vertige.
Cinquante années de Grand Prix de l’Imaginaire.
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Une anthologie anniversaire au faîte d’un monument.
Ils sont la Lignée Gentiane, la Maison des Fleurs.
Ils sont mille. Mille clones âgés de six millions d’années, tous issus d’Abigail Gentian et d’une époque où l’humanité n’était encore qu’à l’orée de l’ère stellaire. Depuis tout ce temps, ces fragments éparpillés parcourent la galaxie, spectateurs de l’aventure humaine à travers l’espace, là où empires et conquêtes fabuleuses se fracassent sur la noria du temps. Tous les deux cent mille ans, après un tour complet de la galaxie, les membres de la Lignée se réunissent pour échanger souvenirs et expériences. C’est la Millième Nuit, une fête sans pareille.
Or, pour cette trente-deuxième réunion, Campion et Purslane sont en retard. Un détail ? Pas vraiment. Car dudit retard pourrait bien dépendre le devenir de l’ensemble de la Voie lactée, et peut-être même bien au-delà…
Né en 1966 au Pays de Galles, Alastair Reynolds mène pendant des années une double carrière d’écrivain et d’astrophysicien au sein de l’Agence Spatiale Européenne avant de se consacrer à l’écriture à temps plein en 2004. Son cycle des « Inhibiteurs » est traduit dans le monde entier. Si le Publishers Weekly le considère comme l’un des auteurs de hard SF les plus doués de sa génération, il est avant tout l’héritier direct de cette science-fiction inventée par Olaf Stapledon, celle du parfait vertige et de l’émerveillement. À ce titre, nul doute que La Maison des Soleils est une manière de chef-d’œuvre.
« Une aventure aussi palpitante qu’époustouflante. »
THE TIME
Ils sont la Lignée Gentiane, la Maison des Fleurs.
Ils sont mille. Mille clones âgés de six millions d’années, tous issus d’Abigail Gentian et d’une époque où l’humanité n’était encore qu’à l’orée de l’ère stellaire. Depuis tout ce temps, ces fragments éparpillés parcourent la galaxie, spectateurs de l’aventure humaine à travers l’espace, là où empires et conquêtes fabuleuses se fracassent sur la noria du temps. Tous les deux cent mille ans, après un tour complet de la galaxie, les membres de la Lignée se réunissent pour échanger souvenirs et expériences. C’est la Millième Nuit, une fête sans pareille.
Or, pour cette trente-deuxième réunion, Campion et Purslane sont en retard. Un détail ? Pas vraiment. Car dudit retard pourrait bien dépendre le devenir de l’ensemble de la Voie lactée, et peut-être même bien au-delà…
Né en 1966 au Pays de Galles, Alastair Reynolds mène pendant des années une double carrière d’écrivain et d’astrophysicien au sein de l’Agence Spatiale Européenne avant de se consacrer à l’écriture à temps plein en 2004. Son cycle des « Inhibiteurs » est traduit dans le monde entier. Si le Publishers Weekly le considère comme l’un des auteurs de hard SF les plus doués de sa génération, il est avant tout l’héritier direct de cette science-fiction inventée par Olaf Stapledon, celle du parfait vertige et de l’émerveillement. À ce titre, nul doute que La Maison des Soleils est une manière de chef-d’œuvre.
« Une aventure aussi palpitante qu’époustouflante. »
THE TIME