La Vie secrète des robots
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Ville de Boss, une montagne pleine de coins et de recoins. Temps futurs.
Le monde tel qu’on le sait n’existe plus. Ni non plus les sciences, la connaissance du passé ou celle de l’écrit. L’électricité est une magie précieuse. Ce qu’il reste de l’humanité vit sur le dos de cités mobiles qui, comme d’immenses animaux, poursuivent des desseins mystérieux sous l’égide de Pilotes qui le sont tout autant. Franny Fenway a quatorze ans ; elle est orpheline. Et s’il y a une chose que Franny aime par-dessus tout, elle à qui la vieille Prudence a enseigné le pouvoir des « sorts d’histoire », ce sont les questions. « Une question n’indique que le milieu d’une histoire, et non sa fin. » Or, Franny compte bien aller jusqu’au bout du récit de sa propre histoire, de celui de ses origines et du devenir du monde…
« Les merveilleux récits de Ken Liu explorent avec brio l’endroit où l’ordinaire et l’extraordinaire se rencontrent. »
THE WASHINGTON POST
Ken Liu, né en 1976 à Lanzhou, en Chine, a émigré aux États-Unis à l’âge de onze ans. Titulaire d’un doctorat en droit (université de Harvard), programmeur, traducteur du chinois, il dynamite les littératures de genre depuis une vingtaine d’années, collectionnant distinctions et prix littéraires, dont le Hugo, le Nebula et le World Fantasy Award. Les Armées de ceux que j’aime est le quatrième de ses récits à paraître dans la collection « Une heure-lumière ». Le Bélial’ lui a par ailleurs consacré deux recueils dans la prestigieuse collection « Quarante-Deux », La Ménagerie de papier (2015), lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire, et Jardins de poussière (2019).
Ville de Boss, une montagne pleine de coins et de recoins. Temps futurs.
Le monde tel qu’on le sait n’existe plus. Ni non plus les sciences, la connaissance du passé ou celle de l’écrit. L’électricité est une magie précieuse. Ce qu’il reste de l’humanité vit sur le dos de cités mobiles qui, comme d’immenses animaux, poursuivent des desseins mystérieux sous l’égide de Pilotes qui le sont tout autant. Franny Fenway a quatorze ans ; elle est orpheline. Et s’il y a une chose que Franny aime par-dessus tout, elle à qui la vieille Prudence a enseigné le pouvoir des « sorts d’histoire », ce sont les questions. « Une question n’indique que le milieu d’une histoire, et non sa fin. » Or, Franny compte bien aller jusqu’au bout du récit de sa propre histoire, de celui de ses origines et du devenir du monde…
« Les merveilleux récits de Ken Liu explorent avec brio l’endroit où l’ordinaire et l’extraordinaire se rencontrent. »
THE WASHINGTON POST
Ken Liu, né en 1976 à Lanzhou, en Chine, a émigré aux États-Unis à l’âge de onze ans. Titulaire d’un doctorat en droit (université de Harvard), programmeur, traducteur du chinois, il dynamite les littératures de genre depuis une vingtaine d’années, collectionnant distinctions et prix littéraires, dont le Hugo, le Nebula et le World Fantasy Award. Les Armées de ceux que j’aime est le quatrième de ses récits à paraître dans la collection « Une heure-lumière ». Le Bélial’ lui a par ailleurs consacré deux recueils dans la prestigieuse collection « Quarante-Deux », La Ménagerie de papier (2015), lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire, et Jardins de poussière (2019).
En cette fin de XXIe siècle, l’humanité s’est établie sur Mars et Vénus. Mais pour la Terre surpeuplée, cela ne suffit pas : il faut déverrouiller la porte des étoiles. Une porte dont la clef semble aux mains des Vorsters, les adorateurs de l’atome : leur réacteur au cobalt 60 brille de mille feux sur chaque autel de leur église en pleine expansion. D’autant qu’ils pourraient bien aussi avoir percé le plus convoité des secrets, rien moins que l’immortalité… Sauf si les Harmonistes, des hérétiques, ne rebattent les cartes, au risque de définitivement condamner le chemin de l’espace…
Robert Silverberg est né à New York en 1935. Immense figure de la science-fiction mondiale, d’une notoriété semblable à celle d’un Ray Bradbury ou d’un Isaac Asimov, avec lequel il collabora d’ailleurs à plusieurs reprises, il est aussi à l’aise dans le domaine de la nouvelle que dans celui du roman. On lui doit certains des chefs-d’œuvre les plus considérables du genre — Le Livre des crânes, L’Homme dans le labyrinthe, L’Oreille interne ou encore le cycle de « Majipoor ».
En cette fin de XXIe siècle, l’humanité s’est établie sur Mars et Vénus. Mais pour la Terre surpeuplée, cela ne suffit pas : il faut déverrouiller la porte des étoiles. Une porte dont la clef semble aux mains des Vorsters, les adorateurs de l’atome : leur réacteur au cobalt 60 brille de mille feux sur chaque autel de leur église en pleine expansion. D’autant qu’ils pourraient bien aussi avoir percé le plus convoité des secrets, rien moins que l’immortalité… Sauf si les Harmonistes, des hérétiques, ne rebattent les cartes, au risque de définitivement condamner le chemin de l’espace…
Robert Silverberg est né à New York en 1935. Immense figure de la science-fiction mondiale, d’une notoriété semblable à celle d’un Ray Bradbury ou d’un Isaac Asimov, avec lequel il collabora d’ailleurs à plusieurs reprises, il est aussi à l’aise dans le domaine de la nouvelle que dans celui du roman. On lui doit certains des chefs-d’œuvre les plus considérables du genre — Le Livre des crânes, L’Homme dans le labyrinthe, L’Oreille interne ou encore le cycle de « Majipoor ».
Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…
C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.
Si Une heure-lumière célèbre les horizons nouveaux, nos hors-séries fêtent Une heure-lumière et ses auteurs emblématiques.
Et cette année le Canadien Rich Larson, dont les fidèles de la collection n’ont pu manquer Barbares, space opera punk et débridé qui réinvente le récit d’aventure spatiale à grand renfort d’idées et d’images fortes.
Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !
Rich Larson est né au Niger. S’il a vécu aux états-Unis, en Afrique du Sud, en Espagne ou à Prague, il a pour l’heure posé ses valises à Montréal. Depuis ses débuts en 2011, il a publié plus de deux cents nouvelles, souvent reprises dans les Year’s Best les plus prestigieux du domaine, et saluées par plusieurs prix de lecteurs. En France, le recueil La Fabrique des lendemains (Le Bélial’, 2020) a d’emblée raflé le Grand Prix de l’Imaginaire, avant que le roman Ymir (Le Bélial’, 2022) confirme le stupéfiant talent de cet auteur de 32 ans désormais considéré comme le fer de lance d’une SF post-eganienne survitaminée qui pulvérise les codes du genre.
Hors commerce
Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…
C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.
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Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !
Rich Larson est né au Niger. S’il a vécu aux états-Unis, en Afrique du Sud, en Espagne ou à Prague, il a pour l’heure posé ses valises à Montréal. Depuis ses débuts en 2011, il a publié plus de deux cents nouvelles, souvent reprises dans les Year’s Best les plus prestigieux du domaine, et saluées par plusieurs prix de lecteurs. En France, le recueil La Fabrique des lendemains (Le Bélial’, 2020) a d’emblée raflé le Grand Prix de l’Imaginaire, avant que le roman Ymir (Le Bélial’, 2022) confirme le stupéfiant talent de cet auteur de 32 ans désormais considéré comme le fer de lance d’une SF post-eganienne survitaminée qui pulvérise les codes du genre.
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