Laurent GENEFORT
FLEUVE NOIR
Critique parue en avril 1996 dans Bifrost n° 1
« Nous sommes seuls, Hicks. Des passagers clandestins squattant la cale d'un cargo abandonné, loin de tout… L'extérieur n'existe plus, nous sommes perdus pour le reste de l'univers. Seuls comme deux vieux amis. »
Entre Misery et La Croisière ne s'amuse plus version Genefort-scope le dernier occupant d'une station de captage de gaz réformée prisonnier d'un mystérieux geôlier tente par tout moyen d'accéder au poste de contrôle ou de faire venir les secours. La dernière mouture du plus jeune auteur du Fleuve Noir témoigne, comme la précédente, d'une constante progression tant dans la menée de l'intrigue que dans la clarté du style.