Il y a Simon Wright, dit le Cerveau, ce qu’il est, littéralement, et dans un bocal de sérum : un scientifique exceptionnel. Et puis Grag, la montagne de fer indestructible dotée d’outils intégrés étonnants. Sans oublier Otho, l’androïde synthétique, spécialiste du combat rapproché, de l’infiltration et du camouflage. Ils sont les Futuristes, la plus stupéfiante association qui puisse s’imaginer. Et enfin il y a celui qu’ils ont élevé, celui qu’ils ont juré de protéger, celui qui est devenu leur leader : Curt Newton, le géant roux, le sorcier de la science doté d’un esprit hors normes, infatigable justicier connu des peuples du Système solaire sous le nom de capitaine Futur.
Tous quatre veillent sur les neuf mondes et au-delà, attentifs, depuis leur base lunaire à l’emplacement secret.
Or voici que le mystérieux Seigneur de la vie étend son réseau mortifère à une vitesse stupéfiante, promettant rien moins que la jeunesse éternelle à qui y met le prix ! Un prix si faramineux qu’il ne signifie qu’une chose : la mise en péril de tout le Système et des intelligences qu’il abrite. À moins que le capitaine Futur et ses Futuristes ne parviennent à percer le secret des origines de la terrifiante Source de vie…
Figure centrale de l’Âge d’or de la science-fiction américaine, scénariste de quantité de comics, dont Superman et Batman, Edmond Hamilton (1904-1977) est considéré comme l’un des inventeurs du space opera. Avec la série du Capitaine Futur, développée entre 1940 et 1951, traduite dans le monde entier mais plus connue en francophonie sous le nom de Capitaine Flam suite à son adaptation en dessin animé par la Tôei Animation dès 1978, il jette les bases d’une sous-culture populaire appelée à connaître un succès planétaire sous ses incarnations cinématographiques modernes — Star Wars, Battlestar Galactica et autre Star Trek.
L’actu du livre
- Le Triomphe : en librairie (23 mai 2019)
- Expo Robotic Pulps (16 mai 2019)
- Le Triomphe : précommande ! (23 avril 2019)
- Le Triomphe : l'illustration maquettée (05 avril 2019)
- Le Triomphe : l'illustration (03 avril 2019)
Revue de presse
« Voici déjà le quatrième volet des aventures du Capitaine Futur, le héros des quadras et quinquas, fans de l’anime du studio japonais Toei Animation. Une nouvelle fois traduit par Pierre-Paul Durastanti dans la collection « Pulps » dont il est par ailleurs l’initiateur et l’animateur infatigable, l’ouvrage ne décevra pas les amateurs de rétro-fiction. Rien de neuf en effet sous le soleil des neuf planètes, une fois de plus menacées par un péril insidieux et implacable. Ne lésinons pas sur les superlatifs car ils composent l’ordinaire du sorcier de la science, ce géant roux dont... » Bifrost
« Reste que, malgré les répétitions, ce volume plonge son lecteur dans le sense of wonder le plus débridé. (…) Pour cela, on doit être encore et toujours reconnaissant à Edmond Hamilton : il a su, avec un talent consommé, faire des autres planètes le terreau fertile de notre imaginaire… » Anudar
« Avec toujours Pierre-Paul Durastanti à la traduction et surtout une œuvre d’art de toute beauté de Philippe Gady pour la couverture, ce quatrième tome des aventures du géant roux continue à nous donner une bonne dose de sense of wonder à l’ancienne, bardé de multiples rebondissements, avec avalanche de noblesse d’âme, de courage et d’amitié. Un cocktail qui fonctionne toujours, presque 80 ans après sa parution, pour un peu que le lecteur ait gardé une âme d’enfant. » Lorhkan et les mauvais genres
« Edmond Hamilton a tout compris du sense of wonder. Même bien des décennies après, alors que sa création bafoue toute réalité, la série fonctionne toujours. Capitaine Futur, c’est le souffle de l’aventure, de la camaraderie, des nobles sentiments. Même s’il me faut bien avouer que ce cycle apparait daté, la magie opère encore et toujours, emportant les lecteurs dans le maelström de l’Âge d’or et du Space opera échevelé. Lire Capitaine Futur revient à retrouver ses yeux d’enfant à la découverte d’un monde merveilleux. » La Yozone