Le Temps de Palanquine
(2017)
Délicité, ville monstre. XXIIe siècle.
Le monde est noir et rouge.
Noir de suie.
Rouge de Palanquine.
Palanquine, immense corps céleste qui se rue sur le système solaire et promet de tout balayer sur son passage, à commencer par la Terre. Palanquine, ou le rappel de la finitude des choses, constante réaffirmation de l’inanité de la condition humaine…
Il y a Lockerbie, génie exceptionnel à l’invention non moins exceptionnelle, qui promet d’ajouter à la catastrophe annoncée.
Il y a Eleanor et John, les derniers des rectifieurs. Leur amour infrangible.
Et cette question : l’amour peut-il à lui seul sauver un monde à l’agonie ?
Thierry Di Rollo, étoile noire et magnétique dans la constellation des auteurs de genre francophones, lauréat du prix Elbakin pour Bankgreen en 2011, a publié dix romans aux éditions du Bélial’. Le Temps de Palanquine est sans doute le plus bouleversant de tous.
Revue de presse
« Pour les villes-monstres comme Délicité, une fin du monde en rouge et noir approche. Elle a pour nom Palanquine, sorte de naine brune qui fonce vers le système solaire et une Terre déjà bien mal en point sans ça. Lockerbie, génie inventeur du saut temporel, représente peut-être l’espoir. Mais celui-ci pourrait bien être frelaté et n’ajouter que catastrophes à la catastrophe à cause des régressions qui effacent petit à petit les technologies postérieures à 1943, but de la première tentative de rectification temporelle sensées au contraire faire gagner les vingt ans de progrès nécessaires pour échapper à Palanquine. Mais toutes les missions des... » Bifrost
« Mêlant atmosphère lugubre, fin du monde imminente, régression technologique et voyages dans le temps, Le temps de Palanquine est un roman réussi et résolument optimiste (et ce, sans sombrer dans la naïveté) porté par un couple charismatique qui reste éperdument convaincu qu’il peut changer les choses, envers et contre tout. » Les Lectures de Xapur
« Roman parfaitement équilibré entre ambiance, sentiments et théories, Le Temps de Palanquine séduit véritablement – là où les premières pages ne promettaient qu’un énième roman corde au cou de post-apo – et donne la preuve éclatante que l’amour sera toujours plus fort que tout (musique de James Horner au choix en fond sonore). » Les Inrocks
« Le Temps de Palanquine est un récit fort, aussi sombre que poétique. Dans lequel la psychologie des personnages a une place prépondérante et un traitement des ressorts de la science-fiction classique sous un prisme original, atypique. » Lectures 42