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Olivier FRAISIER

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Bifrost HS : la science-fiction en bande dessinée

La revue des mondes imaginaires fait péter les bulles pour ses 20 ans : de Flash Gordon aux univers Marvel, d’Aldébaran aux Watchmen en passant par Lone Sloane et Akira : découvrez les univers de la bande dessinée de science-fiction dans un hors-série encyclopédique tout en couleurs !

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La Fin de l'hiver

Canyon, monde clos sur lui-même, sombre peu à peu dans un hiver éternel. Mais les fables ne parlent-elles pas d’un lieu au-delà de la muraille polaire, où au temps jadis l’on pouvait quitter Canyon à bord de grands navires ? À bord d’un dirigeable, l’équipage de Gustav va tenter d’atteindre cet endroit mythique, et peut-être mettre fin à l’hiver…

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Bifrost n° 17

« Ma soeur repose, paisible, dans la chambre d'en face. Allongée sur le dos, les doigts un peu recourbés, les jambes tendues, droites tels des elindels. Son petit nez effronté, bien plus joli que le mien, pointe délicatement. Sa peau a l'éclat d'une fleur. Mais non celui de la santé. Bien sûr, elle est morte. Je me glisse hors de mon lit et reste un instant immobile, vacillante, saisie de mon vertige matinal. Une guérisseuse terrienne m'a dit un jour que ma pression sanguine était trop basse, exactement le genre d'absurdités que racontent les Terriens — ils expliquent que l'air est trop humide, aussi. L'air est ce qu'il est, tout comme je suis ce que je suis. Une meurtrière. »

Nancy Kress est née à Buffalo en 1948. En une quinzaine de romans et près d'une soixantaine de nouvelles, elle s'est imposée comme une figure incontournable de la science-fiction américaine moderne. Les Fleurs de la prison d'Aulite est un texte stupéfiant, une expérience de xéno-pensée profondément troublante. En fait un texte si remarquable que, non content d'avoir été élu meilleure nouvelle de l'année 97 par les lecteurs de la revue Asimov's Science Fiction, il remporta coup sur coup — fait rarissime — les prix Locus, Nebula et Theodore Sturgeon Award...

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Bifrost n° 16

« Je m'appelle Rohr Furland. Pour le meilleur et pour le pire, je suis astronaute, comme mon père et ma mère avant moi. Tradition familiale, quoi.

[...] Je vis le jour dans le luxe d'un deux-pièces sous Tycho pendant le premier anniversaire de l'indépendance de la Fax. On m'a raconté que mon père avait célébré l'événement en se saoulant au picrate lunaire et en baisant la sage-femme qui m'avait mis au monde.

[...] Tout cela fit de moi un corniaud, un vrai fils de bâtard, accoutumé aux bouteilles d'air et à l'apesanteur avant d'être sorti des couches. Pour mes seize ans, je reçus ma carte du syndicat et le conseil de trouver du travail ; deux semaines avant mes dix-huit ans, la navette de BOT où je venais juste d'engager comme manutentionnaire se posa sur une piste de Galveston et, avec l'aide d'un exosquelette, je marchai sur la Terre pour la première fois. J'y passai une semaine, le temps de me casser le bras droit en chutant sur un trottoir à Dallas, de perdre ma virginité dans un claque d'El Paso, et de me taper une vilaine crise d'agoraphobie face aux vastes étendues du Texas. Merde au berceau de l'humanité : je rembarquai pour la Lune à la première occasion et fêtai mes dix-huit ans avec un gâteau d'anniversaire dépourvu de bougies. »

Allen Steele, auteur américain né à Nashville en 1958, a publié six romans et une quarantaine de nouvelles. Généralement présenté comme un écrivain de hard science, il n'en est pas moins un extraordinaire conteur : en témoigne cette Mort du capitaine Futur, court roman de space opéra au ton ironique qui lui valut le très prestigieux prix Hugo en 1996.

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Bifrost n° 15

« Tel était le message de cette petite démonstration. Non pas la solidité du produit, mais son inéluctabilité. Le public avait assisté à la fin d'une ère et, même s'il l'ignorait, moi, je le savais, et c'est ce qui comptait. L'être humain, du point de vue physique, était sans valeur. Il n'y avait plus rien dont il fût capable que la technique ne pût accomplir en mieux. Le nombre de perdants venait à l'instant de doubler, de tripler, d'atteindre son maximum. Ce qu'acclamaient les idiots du parterre n'était autre que la mort de leur avenir. Je me levai, et je l'acclamai avec eux. »

Michael Swanwick, l'un des auteurs américains les plus engagés de sa génération, lauréat du prix Hugo 1999 catégorie short story, signe ici un texte coup de poing d'une précision glaçante, d'une extrême lucidité ; une science-fiction mêlée d'horreur ou le monde des vivants pourrait bien être balayé par celui des cadavres.

Bienvenue en demain, bienvenue dans La Vie des morts..

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Bifrost n° 14

Ils sont venus en paix. Ils ont dressé des passerelles entre notre monde et le leur, offrant aux hommes les perspectives d'une technologie formidable. Que demandent-ils en échange ? Un pour cent, un misérable pour cent des revenus annuels dûment enregistrés de tout terrien. De tout terrien... Oui, mais comment procéder avec les populations nomades dont on ignore le nombre, qui ne déclarent rien, ne reconnaissent aucune autorité étatique... Que faire du peuple Touareg, des mongols, des tribus reculées d'Afrique et d'Amérique du Sud ? Il existe une solution pourtant, une notion plus exactement : celle du génocide nécessaire. Quant à l'horreur qu'elle implique...

Un texte charnière de l'œuvre de Thomas Day, un tournant autant qu'une éclatante confirmation.

Difficile d'affirmer le contraire : il s'est crashé en beauté ! Et voici donc le capitaine Lit de Roses qui se retrouve perdu sur une planète inconnue en compagnie d'une créature métallivore et d'une autochtone certes charmante, mais dotée d'un pouvoir psychique incontrôlable qui provoque une peur aussi atroce qu'irrémédiable auprès de quiconque tente de l'approcher... Reste pour Lit de Roses à s'adapter à ce monde aussi étrange qu'étranger, d'autant qu'il pourrait bien, faute de moyen de transport, y passer le reste de sa vie. A moins que...

Le second volet d'un grand roman d'aventure par Roland C. Wagner.

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Bifrost n° 13

Le capitaine Lit de Roses ouvre les yeux. Il est perdu au fin fond de l'espace, bien au-delà de la Voie Lactée. Son ordinateur de bord ne répond plus alors que son vaisseau, grignoté de l'intérieur par une bien curieuse créature télépathe qui se nourrit de métal, part littéralement en morceaux... Après les Psychopompes de Klash, Roland C. Wagner nous offre ici le retour d'un de ses plus fameux héros : le capitaine Lit de Roses. Un space opéra flamboyant !

Elle a une trentaine d'années. Lui, près de quatre siècles... et il ne peut pas mourir. Avec le talent qu'on lui connaît, Robert Silverberg nous dépeint un avenir d'une sophistication extrême, un monde où la mort n'est plus qu'un souvenir. A moins que ce ne soit la vie. Une stupéfiante histoire d'amour en forme de réflexion sur le temps, le devenir et la pérennité.

La Fédération Terrestre a découvert un bien étrange système stellaire. Une planète en tout point semblable à ce qu'était la Terre il y a deux cent millions d'années. Jusqu'au satellite de cette planète, exacte réplique de notre Lune. A un détail près toutefois : ces corps stellaires sont creux ! Jean-Jacques Nguyen, lauréat du Grand Prix de l'Imaginaire 1999, revisite avec maestria l'un des plus grands thèmes de la science-fiction : celui du Premier Contact.

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Bifrost n° 12

Le Splendeur de Bactriane est abordé par un pirate étrange et fou furieux : un fanatique critisciste ! A l'aide d'un virus, il aliène aussitôt l'Intelligence Artificielle de bord pour en faire le garant des dogmes de sa religion. La nouvelle mission de cette dernière : convertir les passagers du vaisseau. Et tant pis si ça doit prendre plusieurs générations ! Seul problème : pour prouver son entière allégeance à la nouvelle religion, il faut faire don de ses organes reproducteurs. On comprendra aisément qu'avant de se convertir, les passagers du Splendeur de Bactriane y réfléchissent à deux fois !

Pour leur dernière aventure, les Corsaires des étoiles font « tout péter ». Et pour ça, rien de mieux que de mettre en rade l'enceinte de confinement des Leppard d'un vaisseau spatial. Là, pour péter, ça pète ! Evidemment, avec un trou de ver à proximité et face à une armada ennemie, en faisant un truc comme ça on sait jamais bien où on va se retrouver. Encore que la bonne question ne soit peut-être pas où, mais quand...

Edwin Boone est un milliardaire un peu barjo. Gentil, certes, génial, sans doute, mais un peu barjo... Des preuves ? Il est persuadé y de communiquer avec des extraterrestres grâce à des champignons ! Comment ? En les mangeant ! Et puis, naturellement, à force de clamer à travers le monde que des Visiteurs vont venir le chercher, le jour où il disparaît on se pose des questions.

Trois textes, trois auteurs, autant de visions d'une science-fiction qui n'a pas peur de rire, bien au contraire, et tant pis si c'est d'elle-même !

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Bifrost n° 11

Bifrost : le livre.

Nous sommes en 2008, et ce jeune XXIème siècle s'est déjà trouvé une nouvelle horreur : la sclérodermie fibreuse virale généralisée, plus communément appelée Vif Argent. Cette monstruosité, hyper contagieuse, tue en trois jours par infection des fibroplastes du tissu conjonctif sous-cutané. En clair, cette saloperie vous écorche de l'intérieur, met à nu le collagène ce qui vous confère la couleur de l'Argent, phénomène induisant une réponse auto-immune qui vous brûle Vif. Remède connu : aucun. Et quand la pandémie paraît générer une logique interne dans son développement géographique, la porte est ouverte aux extrapolations les plus folles, les plus terrifiantes. Et si...

La guerre est aux portes de notre univers : la totalité de l'armada Keurls s'apprête à franchir un vortex qui devrait la conduire tout droit dans notre espace-temps. Pour les Corsaires des étoiles, l'équipage du Jérusalem, l'interrogation est d'une décourageante simplicité : que faire ? A situation désespérée, décision désespérée : il faut porter coup pour coup et commencer par mener le conflit chez l'envahisseur ! Pour cela une seule solution : franchir la porte spatio-temporelle ! Et après ? Après on verra

Bifrost : la revue.

L'actualité cinéma et télévision, la critique des nouveautés romans et bandes dessinées, les news du milieu S-F, des interviews de Trantkat et Neil Gaiman, des dossiers et études sur Rob Liefeld, Chad Oliver, Clifford D. Simak.

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Bifrost n° 10

Bifrost : le livre.

Canyon est un monde de glace, de désolation. Les rares êtres humains qui y survivent se sont organisés en clans, des tribus qui n'hésitent pas à s'entre-tuer pour le plus infime reliquat de technologie ou l'espoir d'un repas convenable... Mais pour Gustav et Calvero, qui n'ont pas oublié les anciens textes, il demeure un moyen, un seul, d'échapper à tout cela et, peut-être, de rendre sa dignité à l'homme. Ce moyen porte un nom : le Kern. Et pour atteindre cette gigantesque structure qui coupe le ciel en deux, ils sont prêts à toutes les alliances...

Pour nos désormais vieilles connaissances, les corsaires du Jérusalem, l'heure est aux révélations. Que sont devenus les parents de Salomon ? Qui sont réellement les Keurls et, surtout, livrent-ils vraiment une guerre à l'humanité, un conflit qui ne connaît aucune limite, ni d'espace ni de temps ? Autant de questions dont les réponses pourraient bien remettre en cause jusqu'aux fondements même de l'Univers, et précipiter nos héros dans le tourbillon d'aventures qu'ils n'avaient certes pas prévues.

Jeremy Baker a un problème. Trois fois rien, en fait. Son vaisseau a explosé, les réserves de sa combinaison s'épuisent et l'horizon est totalement occulté par un colossal trou noir. Ça suffit ?

À vrai dire, non : une créature immatérielle répondant au patronyme de Nik ne cesse de papoter à son oreille pour lui expliquer les diverses résultantes envisageables de son probable passage au sein du trou noir. Un voyage qu'il va bien falloir se résoudre à entreprendre...

Bifrost : la revue.

Les nouveautés romans et bandes dessinées critiquées, un reportage sur la Worldcon de Baltimore, la Convention Mondiale de Science-Fiction, l'actualité du cinéma et de la télévision, des dossiers sur le Hellboy de Mike Mignola et Philip K. Dick.

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Bifrost n° 116
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