Hors-série Une Heure-Lumière 2018
Un exemplaire offert pour l'achat de deux livres neufs de la collection Une Heure-Lumière, dans la limite des stocks disponibles.
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Un jour, ils débarquèrent, comme tout le monde l'avait prévu. Tombés d'un ciel bleu candide par une froide et belle journée de novembre, ils étaient quatre, quatre vaisseaux extraterrestres à la dérive tels les premiers flocons de la neige qui menaçait depuis déjà une semaine. Le jour se levant sur le continent américain, c'est là qu'ils atterrirent : un dans la vallée du Delaware vingt-cinq kilomètres au nord de Philadelphie, un dans l'Ohio, un dans une région désolée du Colorado, et un (pour un motif inconnu) dans un champ de cannes des abords de Caracas, au Venezuela…
« Ma génération d'écrivains de science-fiction a produit relativement peu d'authentiques maîtres de la forme courte. Gardner Dozois est l'un d'eux. » William Gibson
Né en 1947 dans le Massachusetts, Gardner Dozois est sans doute plus connu outre-Atlantique pour son activité d'éditeur que d'écrivain. Ainsi lui doit-on quantité d'anthologies essentielles (parfois codirigées avec George R.R. Martin, son vieil ami), la série annuelle de référence que sont ses Year's Best SF, sans oublier vingt années passées à la tête de la revue Asimov's Science Fiction (de 1984 à 2004), qui lui valurent la bagatelle de quinze prix Hugo… Il est l'auteur de trois romans, dont deux co-écritures, et d'une soixantaine de nouvelles et romans courts.
« Le Guin écrit avec une intelligence piquante. Ses personnage se révèlent aussi complexes que hantés, et la grâce puissante de son style est remarquable. » The Times
Un double retour dans les îles enchanteresses de l’archipel de Terremer, où connaître le nom véritable de chaque chose octroie un pouvoir crucial… Des voyages temporels dans une chambre de bonne du IVe arrondissement de Paris… Un premier contact avec une intelligence extraterrestre fondamentalement autre… Dans une contrée rongée par l’obscurantisme, un astronome trouve la vérité dans les ténèbres d’une mine… Dix clones identiques vivent en symbiose: quand neuf d’entre eux meurent brutalement, que se passe-t-il pour le survivant? Une ville radieuse dont le bonheur éclatant dépend du malheur d’un seul.
Science-fiction, fantasy, fantastique: les dix-sept nouvelles ici réunies — dont un prix Hugo et un Nebula —, toutes introduites par l’auteure, sont autant de facettes de l’exceptionnel diamant que constitue l’œuvre d’Ursula K. Le Guin, écrivaine essentielle de la littérature nord-américaine, souvent pressentie pour le prix Nobel, saluée par le National Book Award en 2014 pour l’ensemble de sa carrière, et décédée le 22 janvier 2018 à l’âge de 88 ans.
« Les joyaux de ce recueil magnifique ont le même pouvoir de surprise que ses meilleurs romans. »
Martin Amis
« Le Guin écrit avec une intelligence piquante. Ses personnage se révèlent aussi complexes que hantés, et la grâce puissante de son style est remarquable. » The Times
Un double retour dans les îles enchanteresses de l’archipel de Terremer, où connaître le nom véritable de chaque chose octroie un pouvoir crucial… Des voyages temporels dans une chambre de bonne du IVe arrondissement de Paris… Un premier contact avec une intelligence extraterrestre fondamentalement autre… Dans une contrée rongée par l’obscurantisme, un astronome trouve la vérité dans les ténèbres d’une mine… Dix clones identiques vivent en symbiose: quand neuf d’entre eux meurent brutalement, que se passe-t-il pour le survivant? Une ville radieuse dont le bonheur éclatant dépend du malheur d’un seul.
Science-fiction, fantasy, fantastique: les dix-sept nouvelles ici réunies — dont un prix Hugo et un Nebula —, toutes introduites par l’auteure, sont autant de facettes de l’exceptionnel diamant que constitue l’œuvre d’Ursula K. Le Guin, écrivaine essentielle de la littérature nord-américaine, souvent pressentie pour le prix Nobel, saluée par le National Book Award en 2014 pour l’ensemble de sa carrière, et décédée le 22 janvier 2018 à l’âge de 88 ans.
« Les joyaux de ce recueil magnifique ont le même pouvoir de surprise que ses meilleurs romans. » Martin Amis
Capitaine Futur - 3
Il y a Simon Wright, dit le Cerveau, ce qu’il est, littéralement, et dans un bocal de sérum : un scientifique exceptionnel. Et puis Grag, la montagne de fer indestructible dotée d’outils intégrés étonnants. Sans oublier Otho, l’androïde synthétique, spécialiste du combat rapproché, de l’infiltration et du camouflage. Ils sont les Futuristes, la plus stupéfiante association qui puisse s’imaginer. Et enfin il y a celui qu’ils ont élevé, celui qu’ils ont juré de protéger, celui qui est devenu leur leader : Curt Newton, le géant roux, le sorcier de la science doté d’un esprit hors normes, infatigable justicier connu des peuples du Système sous le nom de capitaine Futur.
Tous quatre veillent sur les neuf mondes et au-delà, attentifs, depuis leur base lunaire à l’emplacement secret.
Or le Destructeur a tout prévu : ses astronefs vont attaquer simultanément Neptune, Mars et Saturne pour y détruire les mines de gravium, une ressource essentielle. Mais aussi la Lune, afin d’y annihiler le capitaine Futur et ses Futuristes, seuls adversaires capables de mettre son plan en échec. Sauf que tuer le protecteur du Système solaire n’est pas si simple…
Figure centrale de l’Âge d’or de la science-fiction américaine, scénariste de quantité de comics, dont Superman et Batman, Edmond Hamilton (1904-1977) est considéré comme l’un des inventeurs du space opera. Avec la série du Capitaine Futur, développée entre 1940 et 1951, traduite dans le monde entier mais plus connue en francophonie sous le nom de Capitaine Flam suite à son adaptation en dessin animé par la Tôei Animation dès 1978, il jette les bases d’une sous-culture populaire appelée à connaître un succès planétaire sous ses incarnations cinématographiques modernes — Star Wars, Battlestar Galactica et autre Star Trek.
Capitaine Futur - 3
Il y a Simon Wright, dit le Cerveau, ce qu’il est, littéralement, et dans un bocal de sérum : un scientifique exceptionnel. Et puis Grag, la montagne de fer indestructible dotée d’outils intégrés étonnants. Sans oublier Otho, l’androïde synthétique, spécialiste du combat rapproché, de l’infiltration et du camouflage. Ils sont les Futuristes, la plus stupéfiante association qui puisse s’imaginer. Et enfin il y a celui qu’ils ont élevé, celui qu’ils ont juré de protéger, celui qui est devenu leur leader : Curt Newton, le géant roux, le sorcier de la science doté d’un esprit hors normes, infatigable justicier connu des peuples du Système sous le nom de capitaine Futur.
Tous quatre veillent sur les neuf mondes et au-delà, attentifs, depuis leur base lunaire à l’emplacement secret.
Or le Destructeur a tout prévu : ses astronefs vont attaquer simultanément Neptune, Mars et Saturne pour y détruire les mines de gravium, une ressource essentielle. Mais aussi la Lune, afin d’y annihiler le capitaine Futur et ses Futuristes, seuls adversaires capables de mettre son plan en échec. Sauf que tuer le protecteur du Système solaire n’est pas si simple…
Figure centrale de l’Âge d’or de la science-fiction américaine, scénariste de quantité de comics, dont Superman et Batman, Edmond Hamilton (1904-1977) est considéré comme l’un des inventeurs du space opera. Avec la série du Capitaine Futur, développée entre 1940 et 1951, traduite dans le monde entier mais plus connue en francophonie sous le nom de Capitaine Flam suite à son adaptation en dessin animé par la Tôei Animation dès 1978, il jette les bases d’une sous-culture populaire appelée à connaître un succès planétaire sous ses incarnations cinématographiques modernes — Star Wars, Battlestar Galactica et autre Star Trek.
« Jeff, et si on pouvait mettre de l’ordre dans ses idées comme dans sa chambre ? » C'est la question que se pose Allen, le meilleur ami de Jeff Galagher. Est-il possible de se concentrer pleinement sur une tâche ? Et si oui, à quel prix ?
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« Depuis l’observatoire du pont supérieur du Kepler, où la coque Schaad transparente s’ouvre aux étoiles, j’admire, debout entre Ajit et Kane, le départ de la sonde. L’observatoire, qui sert de jardin au vaisseau, exhibe à foison mes fleurs exotiques en une profusion telle que pour voir s’éloigner l’engin, il faut se tasser entre la cloison et un massif de comoralias de deux mètres de haut. […] Au-delà du Kepler s’étend la région la plus violente, la plus spectaculaire de la galaxie, dans sa splendeur meurtrière… »
Née à Buffalo dans l’État de New York, en 1948, Nancy Kress a publié une trentaine de romans et près de cent cinquante nouvelles. Traduite dans une quinzaine de langues, distinguée par de nombreux prix littéraires internationaux, sa science-fiction, qui puise aux vertiges du génie génétique et de l’intelligence artificielle, situe l’humain et son devenir au cœur de ses problématiques…
Élaboré selon les principes d’exigence propres à « Quarante-Deux », à l’image des recueils de Greg Egan, de Peter Watts et de Ken Liu dans la même collection, Danses aériennes, sans équivalent en langue anglaise, réunit onze récits — dont cinq courts romans. Pensé comme une porte d’entrée, une invite à la découverte d’une œuvre essentielle au sein du corpus SF contemporain, il s’avère un cocktail corsé aux perspectives prodigieuses.
« Depuis l’observatoire du pont supérieur du Kepler, où la coque Schaad transparente s’ouvre aux étoiles, j’admire, debout entre Ajit et Kane, le départ de la sonde. L’observatoire, qui sert de jardin au vaisseau, exhibe à foison mes fleurs exotiques en une profusion telle que pour voir s’éloigner l’engin, il faut se tasser entre la cloison et un massif de comoralias de deux mètres de haut. […] Au-delà du Kepler s’étend la région la plus violente, la plus spectaculaire de la galaxie, dans sa splendeur meurtrière… »
Née à Buffalo dans l’État de New York, en 1948, Nancy Kress a publié une trentaine de romans et près de cent cinquante nouvelles. Traduite dans une quinzaine de langues, distinguée par de nombreux prix littéraires internationaux, sa science-fiction, qui puise aux vertiges du génie génétique et de l’intelligence artificielle, situe l’humain et son devenir au cœur de ses problématiques…
Élaboré selon les principes d’exigence propres à « Quarante-Deux », à l’image des recueils de Greg Egan, de Peter Watts et de Ken Liu dans la même collection, Danses aériennes, sans équivalent en langue anglaise, réunit onze récits — dont cinq courts romans. Pensé comme une porte d’entrée, une invite à la découverte d’une œuvre essentielle au sein du corpus SF contemporain, il s’avère un cocktail corsé aux perspectives prodigieuses.
L’humanité a colonisé le système solaire au bénéfice de consortiums privés omnipotents régnant sur les transports spatiaux. Et ce jusqu’à la plus infernale des planètes, Vénus, dans l’atmosphère létale de laquelle flottent de stupéfiantes cités volantes, véritables miracles de technologie high tech. Plusieurs milliers d’entre elles sont sous la coupe d’un seul et même individu, Carlos Fernando Delacroix Ortega de la Jolla y Nordwald-Gruenbaum, le sultan des nuages, qui n’entrera en pleine possession de son héritage qu’une fois marié, et dont l’immense pouvoir attire toutes les convoitises. Pour David Tinkerman et le Dr Léa Hamakawa, scientifiques récemment arrivés de Mars en vue d’une expertise, les forces souterraines à l’œuvre autour du jeune satrape vont vite s’avérer plus mortelles que Vénus elle-même…
« Les récits de science-fiction ne sont pas avares en idées brillantes. Dans le cas de Landis, la brillance des idées est renforcée par la force émotionnelle de ses textes. Il écrit sur la science et le monde scientifique avec un humanisme saisissant. » GARDNER DOZOIS
Le Sultan des nuages, finaliste du prix Nebula, est lauréat du prix Theodore Sturgeon 2011