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Romain ÉTIENNE

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Des millénaires de silence nous attendent

« Alors qu’elle atteignait ses trente ans, Claude se mit à grandir…Le jour où elle remarqua que le bas de son pantalon s’était éloigné de ses pieds, elle mit cet incident sur le compte de la boite de chocolats que son service avait reçu à Noël. »

L'une n'arrête pas de grandir : c'est Claude — un mètre soixante-dix et ça continue. L'autre n'en finit pas de ne pas mourir : c'est Caroline — quatre-vingt-dix ans et ça continue. Aucune des deux ne se sent vraiment à sa place. Avec verve et tendresse, Catherine Dufour raconte leur parcours, dans cette nouvelle récompensée par le Prix des lecteurs de Bifrost 2020.

Épuisé  

La Longue Patience de la forêt

« Dans la forêt, les hommes reconnaissent leur Mère. Elle produit les fruits et les racines qui les nourrit, elle les abrite, elle leur offre les potions, les onguents qui soignent leurs maux, ainsi que les parures nécessaires à la fête qui suit la guérison. Mais, de même que l’embryon baigne dans la chaleur du ventre maternel sans velléité d’en sortir, de même ils restent confinés en elle. À cela, il y a une bonne raison : s’éloigner de son giron, c’est se condamner à mourir asphyxié. »

Avec « La Longue Patience de la forêt », l'auteur de Helstrid signe une aventure végétale riche d'espoir, couronnée par le Prix des Lecteurs de Bifrost 2019.

Hors commerce  

Brumes fantômes

Tueur à gages, Bersekker revient sur sa planète natale pour y régler quelque affaire familiale et, si possible, maintenir encore à distance les brumes fantômes qui le hantent. Thierry Di Rollo signe ici un récit éminemment personnel, récompensé par le Prix des lecteurs de Bifrost 2018.

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Proscenium

« Sorn n'a plus faim depuis longtemps. Il se contente de survivre à l’absence ; par-delà quelques parsecs, loin de ce monde en périphérie de la nébuleuse N-24 où il vient d’atterrir, elle s’en est allée au creux de l’espace noir. Et souvent elle vient lui sourire dans ses pseudorêves. »

En état de semi-mort, Sorn n'a plus qu'un seul but dans ce qui lui reste de vie : retrouver Naëva, son amour de jeunesse. La seule et unique. À bord du Proscenium, sa seule richesse, Sorn arpente l'espace, dans une quête désespérer pour se rapprocher de celle qui pourtant demeure inaccessible.

Un récit poignant, couronné par le Prix des lecteurs de Bifrost 2017.

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Avec ses yeux

« Après plus de deux mois de travail ininterrompu, j’étais harassé de fatigue. Aussi demandai-je au directeur du Centre de navigation aérospatiale de m’accorder deux jours de congé, histoire de m’aérer et de me changer les idées. Mon supérieur accepta, à la condition que je prenne une paire d’yeux avec moi. »

Drôle de requête que celle soumise au narrateur : porter une paire de lunettes augmentées pour son weekend au Taklamakan. Des lunettes qui permettent à ceux travaillant dans l'espace, loin de toute nature, de voir la même chose que leur porteur. Ici, à l'autre bout de l'appareil, il y a une jeune femme, qu'un rien émerveille. Qui est-elle ? Et surtout : où est-elle ?

Une nouvelle pleine de tendresse signée Liu Cixin et couronnée par le Prix des lecteurs de Bifrost 2017 !

Épuisé  

Une brève histoire du Tunnel transpacifique

Qui se souvient du Tunnel Transpacifique, ce projet fou qui a relancé l'économie mondiale au lendemain de la crise financière de 1929 ? Dans sa nouvelle, couronnée par le Prix des lecteurs Bifrost 2016, Ken Liu nous propose un rappel des événements au travers du vécu de l'un de ceux qui ont participé à sa construction… sans oublier les à-côtés tragiques de l'histoire.

Épuisé  

Revues - Bifrost - 82

Bifrost n° 82

Il y aura des gens pour vous affirmer que l’habit fait le moine et, en général, ils ont tort. Toutefois, il serait justifié de dire que, quand le jeune marquis en devenir avait enfilé ce manteau pour la toute première fois, se contemplant dans le miroir, il s’était alors redressé et sa posture modifiée tant il savait, à observer son reflet, que le personnage qui arborait un tel manteau n’était pas un adolescent quelconque, pas un quelconque chapardeur et trafiquant de faveurs. Le garçon revêtu du manteau qui, à l’époque, était trop grand pour lui, avait souri à son image et s’était remémoré une illustration vue dans un livre : le chat d’un meunier dressé sur ses deux pattes de derrière. Un chat décidé, habillé d’un beau manteau et de grandes et fières bottes. Aussi s’était-il attribué un nom. Un tel manteau, il le savait, était d’un genre que ne pouvait porter que le marquis de Carabas…

Neil Gaiman
Comment le marquis retrouva son manteau

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