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Walter Jon WILLIAMS

Né dans le Minnesota en 1953, Walter Jon Williams s’est d’abord fait connaître dans le registre du roman d’aventures maritimes.

Il se lance dans la science-fiction au mitan des années 80 au travers du genre cyberpunk, dont Câblé (Denoël, 1987) est aujourd’hui devenu un texte emblématique. Éclectique et inclassable, il livrera Les Joyaux de la couronne (Rivage, 1998) aux confluences de la SF et du roman de cape et d’épée, le remarquable Plasma (J’ai Lu, 2000), premier tome de sa trilogie d’arcanepunk inachevée, et Sept Jours pour expier (Denoël, 1993), brillant polar mêlant fresque sociale et hard science

Si toute une partie de son œuvre est inédite en France, l’Atalante publie certains de ses romans, dont Le Coup du Cavalier (2010) qui explore de façon attachante le thème de l’immortalité.

La Peste du léopard vert, sa novella vertigineuse, finaliste du prix Hugo et lauréate du prix Nebula en 2004, est publiée aux éditions du Bélial’ en 2023 dans la collection « Une Heure-Lumière ».

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Une Heure-Lumière - Année 8

Lot rassemblant les sept titres de la collection « Une Heure-Lumière » parus en 2023 :

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La Peste du léopard vert

Après avoir été un singe, Michelle est désormais une sirène planant sur les coraux micronésiens. Car ici, dans ce lointain futur où le travail, la famine et la mort ne sont plus que des reliques obscures, recombiner son génome pour adopter l’apparence et les aptitudes les plus diverses est monnaie courante. Longues ailes rétractiles et branchies, donc, pour Michelle, qui mène une existence paisible dans les îles Chelbacheb. Jusqu’à ce qu’elle entreprenne des recherches biographiques au sujet d’un certain Jonathan Terzian, philosophe et auteur de la révolutionnaire Théorie de la Corne d’abondance. Un homme disparu depuis des siècles, mais dont le destin semble lié à la première épidémie transgénique — la fameuse Peste du Léopard vert ayant pavé le chemin de ce futur inouï… Qu’est-il advenu de Terzian et de celle qui semblait être sa compagne ? Que postule sa théorie, et en quoi son héritage a-t-il façonné le monde de Michelle ? Le prix du savoir est parfois drastique. Nul doute que la sirène devra s’en acquitter…

« Williams sait combien la science-fiction peut donner vie au langage. » NEW YORK TIMES BOOK REVIEW
La Peste du Léopard vert, finaliste du prix Hugo 2004, est lauréat du prix Nebula 2005

Né dans le Minnesota en 1953, Walter Jon Williams s’est d’abord fait connaître dans le registre du roman d’aventures maritimes. Il « bascule » dans la science-fiction au mitan des années 80, notamment avec Câblé, aujourd’hui l’un des récits emblématiques du cyberpunk. Il a depuis livré plusieurs romans remarquables — Plasma, Sept jours pour expier ou encore, dans une veine plus vancienne, Les Joyaux de la Couronne. La Peste du Léopard vert est le parfait exemple de ce que la science-fiction peut produire à son meilleur : un postulat vertigineux, un récit haletant et des problématiques passionnantes.

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La Peste du léopard vert

Après avoir été un singe, Michelle est désormais une sirène planant sur les coraux micronésiens. Car ici, dans ce lointain futur où le travail, la famine et la mort ne sont plus que des reliques obscures, recombiner son génome pour adopter l’apparence et les aptitudes les plus diverses est monnaie courante. Longues ailes rétractiles et branchies, donc, pour Michelle, qui mène une existence paisible dans les îles Chelbacheb. Jusqu’à ce qu’elle entreprenne des recherches biographiques au sujet d’un certain Jonathan Terzian, philosophe et auteur de la révolutionnaire Théorie de la Corne d’abondance. Un homme disparu depuis des siècles, mais dont le destin semble lié à la première épidémie transgénique — la fameuse Peste du Léopard vert ayant pavé le chemin de ce futur inouï… Qu’est-il advenu de Terzian et de celle qui semblait être sa compagne ? Que postule sa théorie, et en quoi son héritage a-t-il façonné le monde de Michelle ? Le prix du savoir est parfois drastique. Nul doute que la sirène devra s’en acquitter…

« Williams sait combien la science-fiction peut donner vie au langage. » NEW YORK TIMES BOOK REVIEW
La Peste du Léopard vert, finaliste du prix Hugo 2004, est lauréat du prix Nebula 2005

Né dans le Minnesota en 1953, Walter Jon Williams s’est d’abord fait connaître dans le registre du roman d’aventures maritimes. Il « bascule » dans la science-fiction au mitan des années 80, notamment avec Câblé, aujourd’hui l’un des récits emblématiques du cyberpunk. Il a depuis livré plusieurs romans remarquables — Plasma, Sept jours pour expier ou encore, dans une veine plus vancienne, Les Joyaux de la Couronne. La Peste du Léopard vert est le parfait exemple de ce que la science-fiction peut produire à son meilleur : un postulat vertigineux, un récit haletant et des problématiques passionnantes.

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Bifrost n° 24

« Une voix hurle quelque part. Reno se déplace à la vitesse de la lumière. L'univers crie de douleur autour de lui. La clarté l'éblouit. Les odeurs piquent ses narines. Au-dessus de lui nagent les étoiles, leur doux éclat brouillé par les larmes.

Il est allongé sur le dos. Sous lui, quelque chose se froisse et bruisse. Les étoiles le contemplent de leurs pupilles illuminées.

Reno bouge le bras. Un geste des plus simples, pourtant il a oublié comment l'effectuer. Il veut essuyer les larmes sur son visage, mais touche sa tempe par erreur et y sent un objet, un câble fiché dans son crâne. Sa coordination est sérieusement détériorée. Son corps lui semble erroné. Il a mal à la gorge, un goût infect dans la bouche. Il se rappelle où il est, ce qu'il fait ici. Il se rappelle que les hurlements étaient les siens.

Il se souvient de ce que ses amis lui ont demandé en échange de certains services.

Il se souvient de ce qu'on ressent en mourant. »

Walter Jon Williams
Solip:système

Épuisé  

Invasions 99

Quand H.G. Wells et Sherlock Holmes se rencontrent dans un Londres ensanglanté par Jack l'Eventreur, de quoi peuvent-ils bien parler ? Mais, des habitudes singulières des guêpes, évidemment...

 

Dans le village, tout le monde a été violé par les extraterrestres... Ca vous fait rire ? On voit bien que vous ne faites pas partie des victimes.

 

Et si des marchands extraterrestres arrivaient le jour de la finale de la coupe du monde de football et repartaient le soir-même, passant là juste pour nous proposer un truc qui, visiblement, ne sert à rien. À votre avis, qui s'en apercevrait ?

 

Les rangers du Texas, ce sont de vrais durs : ils se parfument à la téquila, mangent du plomb chaud. Alors autant vous prévenir, vos quelques martiens verdâtres à la con vont passer un mauvais quart d'heure.

 

Dix-sept récits débordants d'humour et de paranoïa, peuplés de créatures extraterrestres tantôt belliqueuses, tantôt sympathiques, de men in black et autres défenseurs du Grand Secret.

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