« Accrétion est un triomphe. » The Times
Orbite solaire, fin du quatrième millénaire. Lieserl est âgée de quelques semaines, et pourtant son corps est celui d’une vieillarde. était, en fait. Car Lieserl est une intelligence artificielle, et elle vient de quitter son enveloppe physique pour être « uploadée » au sein du Soleil par l’entremise d’une Interface, rien moins qu’un trou de ver… Et alors qu’elle vole littéralement dans les flux de convection, transmettant ses observations à la station Toth, émerveillée par un paysage à nul autre pareil, elle découvre l’impensable : le Soleil se meurt.
À moins qu’il soit plus juste de dire que quelque chose le tue. Quelque chose ou quelqu’un… Mais qui ? Et dans quel but ? L’humanité vient de se découvrir le plus terrible des ennemis, une puissance capable de moucher le cœur d’une étoile comme une simple bougie, un pouvoir à même de provoquer l’apocalypse à l’échelle de l’univers…
Né à Liverpool en 1957, Stephen Baxter est diplômé en mathématiques de l’université de Cambridge. En 1991, il manque de peu la présélection pour devenir astronaute sur la station spatiale Mir. La même année paraît Gravité, qui inaugure le plus célèbre de ses cycles, « les Xeelees », gigantesque fresque spatiale à ce jour composée de quatre romans et d’un recueil de nouvelles. Ultime roman des « Xeelees », Accrétion peut se lire de façon indépendante, à l’instar de Gravité, Singularité et Flux, les précédents opus du cycle.
« Accrétion rappelle les passages les plus visionnaires de Wells et Clarke… » Locus
« … Clarke, Asimov et Heinlein sont les très rares à avoir réussi pareil tour de force : écrire une SF basée sur une science exacte et où l’extrapolation mêle plaisir de lecture et vertige. Baxter les rejoint désormais. » New Scientist