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L'avis de Philippe Curval sur Zendegi

« Par ce joli printemps ensoleillé, j’ai failli perdre mon latin en lisant Zendegi. Troublé sans doute par son climat, son ambiance qui diffèrent en grande partie des œuvres précédentes. Malgré tout, j’ai persisté ! Effort récompensé qui m’a permis, après avoir tourné la page 366 et dernière, de prononcer avec un léger soulagement : amo, amas, amat, amamus, amatis, amant Greg Egan. Un roman profus, déconstruit, attachant, qui révèle la part secrète de Greg Egan, son quotient d’humanité. »

Philippe Curval (Carnet particulier)

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Bifrost n° 116
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