Les Armées de ceux que j’aime
(The Armies of Those I Love, 2020)
Ville de Boss, une montagne pleine de coins et de recoins. Temps futurs.
Le monde tel qu’on le sait n’existe plus. Ni non plus les sciences, la connaissance du passé ou celle de l’écrit. L’électricité est une magie précieuse. Ce qu’il reste de l’humanité vit sur le dos de cités mobiles qui, comme d’immenses animaux, poursuivent des desseins mystérieux sous l’égide de Pilotes qui le sont tout autant. Franny Fenway a quatorze ans ; elle est orpheline. Et s’il y a une chose que Franny aime par-dessus tout, elle à qui la vieille Prudence a enseigné le pouvoir des « sorts d’histoire », ce sont les questions. « Une question n’indique que le milieu d’une histoire, et non sa fin. » Or, Franny compte bien aller jusqu’au bout du récit de sa propre histoire, de celui de ses origines et du devenir du monde…
« Les merveilleux récits de Ken Liu explorent avec brio l’endroit où l’ordinaire et l’extraordinaire se rencontrent. »
THE WASHINGTON POST
Ken Liu, né en 1976 à Lanzhou, en Chine, a émigré aux États-Unis à l’âge de onze ans. Titulaire d’un doctorat en droit (université de Harvard), programmeur, traducteur du chinois, il dynamite les littératures de genre depuis une vingtaine d’années, collectionnant distinctions et prix littéraires, dont le Hugo, le Nebula et le World Fantasy Award. Les Armées de ceux que j’aime est le quatrième de ses récits à paraître dans la collection « Une heure-lumière ». Le Bélial’ lui a par ailleurs consacré deux recueils dans la prestigieuse collection « Quarante-Deux », La Ménagerie de papier (2015), lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire, et Jardins de poussière (2019).
L’actu du livre
- “Les armées de ceux que j'aime” : précommande ouverte (13 novembre 2024)
- Une couverture pour le nouveau Ken Liu (27 août 2024)
Revue de presse
« Les Armées de ceux que j’aime n’est peut-être pas le récit le plus marquant de l’auteur, à mon sens, en première lecture. Mais je le soupçonne de pouvoir laisser des traces qui grandiront avec le temps, car il y a un truc qui gratte le fond du cerveau dans cette dernière scène. C’est Ken Liu et il est toujours sage et bon de lire Ken Liu. » L'Épaule d'Orion