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Aurélien POLICE

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

L'Automate de Nuremberg

En ce 13 septembre 1824, après la chute de Moscou et le traité de Niji signé avec le tsar Alexandre Ier, protecteur de toutes les Russies, l’empereur Napoléon règne sur l’Europe. Un continent à genoux, exsangue, vidé de sa substance par un trop-plein de guerres et d’horreurs, un territoire à feu et à sang que le stupéfiant Melchior Hauser, tout juste libéré de son statut d’esclave, va cependant entreprendre de parcourir. Car il lui faut retrouver Viktor Hauser, celui qu’on surnomme le de Vinci de Nuremberg, et lui poser une question. Unique, toute simple, mais qui revêt à ses yeux une importance cruciale : « Père, ai-je une âme ? »

Ayant longtemps hésité entre Laos, Thaïlande et Cambodge, Thomas DAY a finalement posé son sac en banlieue parisienne, où il gère deux adolescents en menant de front son métier d’éditeur, sa carrière de romancier et ses activités de scénariste BD. On lui doit plus d’une centaine de nouvelles et une douzaine de romans, dont La Voie du Sabre, L’Instinct de l’équarrisseur et Le Trône d’ébène. Le dernier d’entre eux, Du sel sous les paupières, est lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire 2013. Quant à Sept secondes pour devenir un aigle, le plus récent de ses recueils, il est lui aussi lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire, mais millésime 2014.
L’Automate de Nuremberg est le deuxième de ses titres à paraître dans la collection « Une heure-lumière », après le très remarqué Dragon qui en a fait l’ouverture en 2016.


« On le voit, contrairement à Antoine Volodine qui prône le post-exotisme fondé sur la subversion de l’idée même d’Auteur, Thomas Day s’avère le tenant du pur-exotisme où l’écrivain s’affirme tel un vengeur masqué à l’assaut des tares de l’Humanité. » PHILIPPE CURVAL


Couverture et conception graphique : Aurélien Police

9,90 €   Ajouter au panier

L'Automate de Nuremberg

En ce 13 septembre 1824, après la chute de Moscou et le traité de Niji signé avec le tsar Alexandre Ier, protecteur de toutes les Russies, l’empereur Napoléon règne sur l’Europe. Un continent à genoux, exsangue, vidé de sa substance par un trop-plein de guerres et d’horreurs, un territoire à feu et à sang que le stupéfiant Melchior Hauser, tout juste libéré de son statut d’esclave, va cependant entreprendre de parcourir. Car il lui faut retrouver Viktor Hauser, celui qu’on surnomme le de Vinci de Nuremberg, et lui poser une question. Unique, toute simple, mais qui revêt à ses yeux une importance cruciale : « Père, ai-je une âme ? »

Ayant longtemps hésité entre Laos, Thaïlande et Cambodge, Thomas DAY a finalement posé son sac en banlieue parisienne, où il gère deux adolescents en menant de front son métier d’éditeur, sa carrière de romancier et ses activités de scénariste BD. On lui doit plus d’une centaine de nouvelles et une douzaine de romans, dont La Voie du Sabre, L’Instinct de l’équarrisseur et Le Trône d’ébène. Le dernier d’entre eux, Du sel sous les paupières, est lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire 2013. Quant à Sept secondes pour devenir un aigle, le plus récent de ses recueils, il est lui aussi lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire, mais millésime 2014.
L’Automate de Nuremberg est le deuxième de ses titres à paraître dans la collection « Une heure-lumière », après le très remarqué Dragon qui en a fait l’ouverture en 2016.


« On le voit, contrairement à Antoine Volodine qui prône le post-exotisme fondé sur la subversion de l’idée même d’Auteur, Thomas Day s’avère le tenant du pur-exotisme où l’écrivain s’affirme tel un vengeur masqué à l’assaut des tares de l’Humanité. » PHILIPPE CURVAL


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Hors-série Une Heure-Lumière 2024

Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…
C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.
Si Une heure-lumière célèbre les horizons nouveaux, nos hors-séries fêtent Une heure-lumière et ses auteurs emblématiques.
Et cette année le Canadien Rich Larson, dont les fidèles de la collection n’ont pu manquer Barbares, space opera punk et débridé qui réinvente le récit d’aventure spatiale à grand renfort d’idées et d’images fortes.
Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !

Rich Larson est né au Niger. S’il a vécu aux états-Unis, en Afrique du Sud, en Espagne ou à Prague, il a pour l’heure posé ses valises à Montréal. Depuis ses débuts en 2011, il a publié plus de deux cents nouvelles, souvent reprises dans les Year’s Best les plus prestigieux du domaine, et saluées par plusieurs prix de lecteurs. En France, le recueil La Fabrique des lendemains (Le Bélial’, 2020) a d’emblée raflé le Grand Prix de l’Imaginaire, avant que le roman Ymir (Le Bélial’, 2022) confirme le stupéfiant talent de cet auteur de 32 ans désormais considéré comme le fer de lance d’une SF post-eganienne survitaminée qui pulvérise les codes du genre.

Hors commerce  

La Marche funèbre des Marionnettes

Futur lointain. Planète Vlhan.
Ils sont tous là. Ambassadeurs et représentants de la plupart des mondes et intelligences connus. Sur leur estrade, serrés les uns contre les autres, le regard tourné vers une seule direction, tendus. Car ceux qu’ils observent, ces êtres impénétrables, colossaux, que d’aucuns nomment les Marionnettes, s’apprêtent à se livrer au plus singulier des rituels : le Ballet, une communion frénétique de plusieurs jours à l’issue de laquelle ils mourront — par dizaines de milliers. Nul ne comprend les motivations de ce sacrifice annuel ultime qui fascine toute la Galaxie. À commencer par Alex Gordon, exolinguiste au service de la Confédération terrienne, qui va y assister pour la troisième fois. Mais alors que les Marionnettes, par myriades, agitent leurs fouets immenses, Alex distingue une silhouette inattendue et résolument non extraterrestre au sein de la mêlée : une jeune femme appareillée de façon étrange qui semble sur le point de se joindre à la danse alien. Cette femme n’a rien à faire là, et elle se prépare à mourir. À moins que…


« Un grand talent qui opère avec une efficacité maximale. » HARLAN ELLISON

Pour discret qu’il soit, Adam-Troy CASTRO, né en 1960 et vivant en Floride, n’en est pas moins l’auteur d’une oeuvre prolifique — divers romans, et pas loin de deux cents nouvelles sur trente années de carrière, dont, constat injuste, seule une maigre part a franchi l’Atlantique. Nombre de ses textes sont constitutifs d’une histoire du futur vaste et cohérente — y compris les trois titres proposés par les éditions Albin Michel Imaginaire en 2021 et 2022. La Marche funèbre des Marionnettes, récit d’ethno-SF poignant, s’inscrit elle aussi dans cette histoire du futur passionnante.

11,90 €   Ajouter au panier

La Marche funèbre des Marionnettes

Futur lointain. Planète Vlhan.
Ils sont tous là. Ambassadeurs et représentants de la plupart des mondes et intelligences connus. Sur leur estrade, serrés les uns contre les autres, le regard tourné vers une seule direction, tendus. Car ceux qu’ils observent, ces êtres impénétrables, colossaux, que d’aucuns nomment les marionnettes, s’apprêtent à se livrer au plus singulier des rituels : l­e Ballet, une communion frénétique de plusieurs jours à l’issue de laquelle ils mourront — par dizaines de milliers. Nul ne comprend les motivations de ce sacrifice annuel ultime qui fascine toute la Galaxie. À commencer par Alex Gordon, exolinguiste au service de la Confédération terrienne, qui va y assister pour la troisième fois. Mais alors que les marionnettes, par myriades, agitent leurs fouets immenses, Alex distingue une silhouette inattendue et résolument non extraterrestre au sein de la mêlée : une jeune femme appareillée de façon étrange qui semble sur le point de se joindre à la danse alien. Cette femme n’a rien à faire là, et elle se prépare à mourir. À moins que…

« Un grand talent qui opère avec une efficacité maximale. »
HARLAN ELLISON

Pour discret qu’il soit, Adam-Troy Castro, né en 1960 et vivant en Floride, n’en est pas moins l’auteur d’une œuvre prolifique — divers romans, et pas loin de deux cents nouvelles sur trente années de carrière, dont, constat injuste, seule une maigre part a franchi l’Atlantique. Nombre de ses textes sont constitutifs d’une histoire du futur vaste et cohérente — y compris les trois titres proposés par les éditions Albin Michel Imaginaire en 2021et 2022. La Marche funèbre des marionnettes, récit d’ethno-SF poignant, s’inscrit elle aussi dans cette histoire du futur passionnante.

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Kid Wolf et Kraken Boy

New York. Fin des années 1920.
L’un est le Kid Wolf, jeune boxeur talentueux qui rêve de soulever la ceinture de champion. L’autre est le Kraken Boy, le plus doué des tatoueurs, un grand type nonchalant dont l’art et l’encre font merveille — littéralement. Mais les temps sont durs dans le Lower East Side de l’entre-deux-guerres gangréné par la mafia juive. D’autant que la Grande Dépression pointe son nez, et avec elle les mouvements sociaux qui se radicalisent et les briseurs de grève aux mains des syndicats qui font régner la terreur… Et puis il y a Hinky Friedman, née Rivkah Heinckmann, alias Rebecca-la-Hink, la Reine des Gangsters. Et Hinky a une vision, l’ambition d’un autre monde — meilleur, qui sait ? Or pour cela elle a un plan, un plan pour Kid Wolf et Kraken Boy, un plan pour tout changer. Mais ce que n’a pas prévu Hinky, c’est l’amour. Un amour impossible, interdit, un amour qui, lui, pourrait véritablement remodeler la face du monde…

« Deux narrateurs inoubliables et l’aura légendaire d’une romance classique. » LOCUS

Né en 1979, Sam J. Miller a grandi dans l’État de New York avant de s’installer dans la métropole du même nom. Issu d’une longue lignée de bouchers, il partage son temps entre une association dédiée à l’aide aux sans-abri et l’écriture. Auteur d’une cinquantaine de nouvelles au ton viscéral et engagé, dont plusieurs sont parues en France dans les pages de la revue Bifrost, il a aussi publié quatre romans, dont La Cité de l’orque (Albin Michel Imaginaire). Avec Kid Wolf et Kraken Boy, récit d’un amour inavouable trempé dans l’encre d’une magie ancestrale, quelque part entre le Sergio Leone d’Il était une fois en Amérique et le Martin Scorsese de Gangs of New York, Sam J. Miller affirme la singularité d’une œuvre littéraire portée par des visions saisissantes et une ambition sociale sans équivoque. Assurément l’une des voix les plus intéressantes de la nouvelle génération de romanciers américains.

12,90 €   Ajouter au panier

Kid Wolf et Kraken Boy

New York. Fin des années 1920.
L’un est le Kid Wolf, jeune boxeur talentueux qui rêve de soulever la ceinture de champion. L’autre est le Kraken Boy, le plus doué des tatoueurs, un grand type nonchalant dont l’art et l’encre font merveille — littéralement. Mais les temps sont durs dans le Lower East Side de l’entre-deux-guerres gangréné par la mafia juive. D’autant que la Grande Dépression pointe son nez, et avec elle les mouvements sociaux qui se radicalisent et les briseurs de grève aux mains des syndicats qui font régner la terreur… Et puis il y a Hinky Friedman, née Rivkah Heinckmann, alias Rebecca-la-Hink, la Reine des Gangsters. Et Hinky a une vision, l’ambition d’un autre monde — meilleur, qui sait ? Or pour cela elle a un plan, un plan pour Kid Wolf et Kraken Boy, un plan pour tout changer. Mais ce que n’a pas prévu Hinky, c’est l’amour. Un amour impossible, interdit, un amour qui, lui, pourrait véritablement remodeler la face du monde…

« Deux narrateurs inoubliables et l’aura légendaire d’une romance classique. » LOCUS

Né en 1979, Sam J. Miller a grandi dans l’État de New York avant de s’installer dans la métropole du même nom. Issu d’une longue lignée de bouchers, il partage son temps entre une association dédiée à l’aide aux sans-abri et l’écriture. Auteur d’une cinquantaine de nouvelles au ton viscéral et engagé, dont plusieurs sont parues en France dans les pages de la revue Bifrost, il a aussi publié quatre romans, dont La Cité de l’orque (Albin Michel Imaginaire). Avec Kid Wolf et Kraken Boy, récit d’un amour inavouable trempé dans l’encre d’une magie ancestrale, quelque part entre le Sergio Leone d’Il était une fois en Amérique et le Martin Scorsese de Gangs of New York, Sam J. Miller affirme la singularité d’une œuvre littéraire portée par des visions saisissantes et une ambition sociale sans équivoque. Assurément l’une des voix les plus intéressantes de la nouvelle génération de romanciers américains.

 

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Hors-série Une Heure-Lumière 2024

Une heure-lumière, c’est la distance que parcourt un photon dans le vide en 3600 secondes, soit plus d’un milliard de kilomètres…
C’est aussi le nom d’une collection qui vient de franchir les cinquante titres, un espace éditorial unique, tant par le fond que par la forme, au statut de référence dans le paysage brouillé des littératures de genre.
Si Une heure-lumière célèbre les horizons nouveaux, nos hors-séries fêtent Une heure-lumière et ses auteurs emblématiques.
Et cette année le Canadien Rich Larson, dont les fidèles de la collection n’ont pu manquer Barbares, space opera punk et débridé qui réinvente le récit d’aventure spatiale à grand renfort d’idées et d’images fortes.
Une heure-lumière… comme un shot d’imaginaire corsé !

Rich Larson est né au Niger. S’il a vécu aux états-Unis, en Afrique du Sud, en Espagne ou à Prague, il a pour l’heure posé ses valises à Montréal. Depuis ses débuts en 2011, il a publié plus de deux cents nouvelles, souvent reprises dans les Year’s Best les plus prestigieux du domaine, et saluées par plusieurs prix de lecteurs. En France, le recueil La Fabrique des lendemains (Le Bélial’, 2020) a d’emblée raflé le Grand Prix de l’Imaginaire, avant que le roman Ymir (Le Bélial’, 2022) confirme le stupéfiant talent de cet auteur de 32 ans désormais considéré comme le fer de lance d’une SF post-eganienne survitaminée qui pulvérise les codes du genre.

Hors commerce  

De l'espace et du temps

Mars, d’ici deux décennies…
Au début, ils ont cru pouvoir y échapper. Jusqu’à ce que la Catastrophe, un virus militarisé qui a fauché l’humanité en un temps record, frappe la colonie à son tour. Aussi, depuis qu’il a inhumé Katrina Solovyova, John est seul, il ne reste plus que lui. Lui et Pavonis Mons, qu’il contemple à travers une baie blindée. Et aussi ce mystérieux piano blanc, un Bösendorfer — et ce non moins mystérieux musicien excentrique aux lunettes ridicules qui lui parle parfois… Que faire, lorsque vous êtes l’ultime représentant de votre espèce ? En finir une bonne fois pour toutes ? Ou entreprendre la plus magnifique des quêtes, la plus vertigineuse, la plus sidérante des aventures ? John Renfrew est le dernier être humain. Le dépositaire de l’esprit de découverte et de la soif de savoir de l’humanité tout entière. Et il a un univers à explorer…

« Reynolds est l’un des auteurs contemporains de hard SF les plus doués. » PUBLISHERS WEEKLY

Né en 1966 au Pays de Galles, Alastair Reynolds mène longtemps une double carrière, celle d’écrivain et d’astrophysicien au sein de l’Agence Spatiale Européenne, avant de se consacrer à la seule écriture en 2004. Au fil de ses premiers écrits, il brosse une fresque futuriste sans pareille qui l’installe bientôt au pinacle des créateurs d’univers : le Cycle des Inhibiteurs, immense succès de librairie. Hors cycle, on lui doit depuis divers recueils et une vingtaine de romans — dont Éversion en 2023 au Bélial’, et, chez le même éditeur, le stupéfiant La Maison des soleils, considéré par beaucoup comme son chef-d’œuvre, annoncé courant 2024.

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De l'espace et du temps

Mars, d’ici deux décennies…
Au début, ils ont cru pouvoir y échapper. Jusqu’à ce que la Catastrophe, un virus militarisé qui a fauché l’humanité en un temps record, frappe la colonie à son tour. Aussi, depuis qu’il a inhumé Katrina Solovyova, John est seul, il ne reste plus que lui. Lui et Pavonis Mons, qu’il contemple à travers une baie blindée. Et aussi ce mystérieux piano blanc, un Bösendorfer — et ce non moins mystérieux musicien excentrique aux lunettes ridicules qui lui parle parfois… Que faire, lorsque vous êtes l’ultime représentant de votre espèce ? En finir une bonne fois pour toutes ? Ou entreprendre la plus magnifique des quêtes, la plus vertigineuse, la plus sidérante des aventures ? John Renfrew est le dernier être humain. Le dépositaire de l’esprit de découverte et de la soif de savoir de l’humanité tout entière. Et il a un univers à explorer…

« Reynolds est l’un des auteurs contemporains de hard SF les plus doués. » PUBLISHERS WEEKLY

Né en 1966 au Pays de Galles, Alastair Reynolds mène longtemps une double carrière, celle d’écrivain et d’astrophysicien au sein de l’Agence Spatiale Européenne, avant de se consacrer à la seule écriture en 2004. Au fil de ses premiers écrits, il brosse une fresque futuriste sans pareille qui l’installe bientôt au pinacle des créateurs d’univers : le Cycle des Inhibiteurs, immense succès de librairie. Hors cycle, on lui doit depuis divers recueils et une vingtaine de romans — dont Éversion en 2023 au Bélial’, et, chez le même éditeur, le stupéfiant La Maison des soleils, considéré par beaucoup comme son chef-d’œuvre, annoncé courant 2024.

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