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Bleu

C’est l’histoire de Téri. Il est guitariste et gagne sa vie comme musicien de studio. Dans sa piaule sous les toits, au cinquième étage, il y a une « fenêtre cosmique »… Seul le chat peut la franchir et il en profite pour aller explorer de lointaines planètes. Téri compose des chansons pour Zelda, son amoureuse. Mais Zelda est signée par une Major et Téri se retrouve sur la touche… C’est aussi l’histoire de Blanche-Neige, complètement fou dans sa tête et mal à crever dans son corps. Dans le taudis où il survit, Blanche-Neige s’emploie à construire sa propre version de la « fenêtre cosmique » : adaptée aux humains et permettant de voyager aussi dans le temps…
Téri réalise alors que Blanche-Neige veut se rendre dans le passé, jusqu’à ce jour de décembre où un dingue a abattu John, devant l’hôtel Dakota, à New-York, sous les yeux de Yoko. Il comprend que Blanche-Neige veut mourir à la place de John, dans le fol espoir de donner enfin un sens à sa vie. Délires de paumés ? Hallucinations à mettre sur le compte des substances que Téri et Blanche-Neige consomment sans modération ? Peut-être… Mais si un vortex était bel et bien en train de s’ouvrir en direction du passé ? Et si ce « bleu » qui envahit peu à peu la ville n’était autre que l’horizon événementiel d’un trou noir en cours de formation ?

« Bleu » est un des principaux récits composant une véritable comédie humaine largement autobiographique, mettant en scène le milieu artistique et le monde de la nuit, à Bordeaux dans les années quatre-vingt. La plupart de ces récits sont parus dans la revue Ténèbres et dans des anthologies comme De minuit à minuit. Ils font l’objet d’un recueil à paraître courant 2015.

Une première version de « Bleu » a été publiée dans Ténèbres n°8, 10/12.1999. Cette nouvelle version, remaniée pour son passage à l’oralité, est inédite.
Le thème musical d’ouverture de la piste 2 est emprunté au morceau « Feathers » écrit et composé en 2012, inédit. Le thème musical d’ouverture de la piste 9 est emprunté au morceau « Tu dis… » écrit et composé en 2008, et figurant sur l’album « Un Rêve d’Hippocampe ». Le reste de la musique et l’habillage sonore ont été spécialement composés pour cette édition audio.

 

Instruments utilisés :

  • Guitare électrique Ibanez Performer PF 100 (1978, Japon) + pédales d’effets Ravish Sitar (Electro-Harmonix), Digital Delay DD 600 (Behringer) et Ultra Bass Flanger BUF 300 (Behringer) : pistes 1 à 9.
  • Guitare électrique Ryann (Hoshino Gakki) LesPaul Custom (1970, Japon) : piste 5.
  • Guitare Slide électrique 10 cordes Starren (2009, Chine) : pistes 8 et 9.
  • Dulcimer des Appalaches acoustique (Thomann, Europe) : piste 7.
  • Flûte de Pan, Flûte à bec Alto, Ocarina : piste 4.
  • Bols tibétains : piste 7.
  • Effets additionnels : reverb, echo, reverse, compression (uniquement sur le chant, piste 9) avec Audacity 2.0 (2014).

Enregistrement (octobre 2014) : BOSS BR600.

Mixage (octobre 2014) : Audacity 2.0 sous Windows XP Pro.

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Bifrost n° 76

Regarnis la pipe. Si je dois raconter cette histoire comme il faut, j’aurai besoin de son aide. C’est bien. Non, inutile de rajouter une bûche dans le feu. Laisse-le mourir. Il y a pire que l’obscurité.
Ecoute la taverne grincer et gémir dans son sommeil ! Ce ne sont que ses os et ses pierres qui se tassent, pourtant on jurerait entendre le plus esseulé des spectres. Il est tard. On a barré la porte, clos les portes à chaque bout du Pont.
Le feu dépérit. Dans le monde entier, il n’y a d’éveillés que toi et moi. Ce récit ne convient guère à des oreilles aussi jeunes que les tiennes, mais... Oh ! Pas de cet air renfrogné. Tu vas me faire rire, ce qui messied à ma triste histoire. Bon, voilà qui est mieux.
Rapprochons nos tabourets des braises, que je te dise tout...

Michael Swanwick
Le Récit du changelin

 

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Le Royaume blessé

« Écoutez ! Ma parole est vérité ! Voici l’histoire d’Eylir Ap’Callaghan !

Je rêvais de lui longtemps avant que nos chemins ne se croisent. Un guerrier résolu, avec ses grandes bottes et l’épée Misère à sa ceinture, avançant dans les marais en menant son cheval par la bride… Eylir, foutu Kelte ! Droit, fort, obstiné, colérique et généreux, qui rit dans la bataille et soulève les femmes par la taille ! Eylir, tombé dans la boue et monté si haut, jusqu’à poser sur sa tête la couronne du Roi des Rois. Un héros, capable de changer le monde de ses propres mains. »

Né en 1975, Laurent Kloetzer a écrit plusieurs romans de fantasy dont La Voie du cygne ou le recueil Petites morts, mais aussi de science-fiction, dont le récent Anamnèse de Lady Star. Le présent ouvrage se veut une édition définitive du roman Le Royaume blessé paru aux éditions Denoël en 2006, accompagné du Dit de l’errant, recueil de douze nouvelles prenant place dans l’univers du roman, dont dix jamais publiées à ce jour.

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Les Pourris

Dans un monde en décomposition, le plus dur est de conserver son intégrité physique. C'est le principal problème auquel sont confrontés le Crépu, Pièces-Détachées et les autres. Zombies de leur état, ils hantent une ville dépeuplée depuis l'apocalypse, où ils vivent un indolent quotidien post-mortem… L'autre problème, ce sont ces pulsions, longtemps oubliées, au niveau de l'entrejambes et aux effets délétères.

Avec « Les Pourris », Xavier Otzi nous propose une virée à la fois drôle, tendre et surtout trash, dans un monde où les zombies ne sont pas les monstres décérébrés que l'on imagine. Pas tout à fait…

Épuisé  

Les Perséides

« Finders était le nom d’une librairie d’occasion délabrée près de l’université. Un endroit que Paul adorait. J’y étais allé, mais il ne m’avait pas fait forte impression. On y trouvait quelques éditions originales qui manquaient de tenue, un grand rayon d’absurdités occultes dans le genre de Madame Blavatsky et des romans à deux sous oubliés des années 50... »

C’est l’histoire de deux géographies intriquées : celle des ruelles nocturnes de Toronto et celle de l’étrange librairie Finders, deux géographies qui ne sont pas ce qu’elles semblent être car non, décidément, la carte n’est pas le territoire... C’est l’histoire des abîmes vertigineux de l’espace et du temps et de ce qu’ils abritent, de l’étrange et de l’occulte, là, au coin de la rue, au détour d’un rayonnage de bibliothèque ou sur une case d’échiquier... C’est l’histoire de ce qui ne peut être vu et que l’on voit quand même, de ce qui ne peut être dit et qu’il nous faut dire, malgré tout... C’est l’histoire des Perseides, neuf récits se répondant les uns les autres pour tisser l’ébauche d’un paysage indicible, un livre à l’ombre des grands maîtres tutélaires de l’œuvre wilsonienne : Jorge Luis Borges, Howard Phillips Lovecraft et Clifford D. Simak en tête. Peut-être le livre le plus personnel de Robert Charles Wilson.

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Les Perséides (nouvelle)

À Toronto, de nos jours. C’est lors de l’achat d’un télescope que Michael, astronome amateur, rencontre Robin. Bien que vendeuse de lunettes astronomiques, la jeune femme éprouve une répugnance envers ces appareils : « On ne regarde pas dans le télescope. Parce qu’il se pourrait que quelque chose vous y regarde aussi. » Des fadaises ? À mesure que Michael apprend à connaître Robin et ses amis, il va découvrir que rôdent, peut-être, des choses, dans le noir.

Épuisé  

L'Éducation de Stony Mayhall

« En général, ça finit avec la Dernière Fille, l’unique survivante : une jeune femme en débardeur éclaboussé de sang. Elle lâche sa tronçonneuse, son fusil à canon scié, son pied-de-biche [...] et sort en titubant d’une vieille maison. [...] L’aube rougeoie sur l’horizon et les goules ont été vaincues (pour le moment, parce que les happy ends ne durent jamais). Peut-être que d’autres survivants finissent par la retrouver et l’emmènent dans une enclave, une forteresse grouillant de soldats, ou à tout le moins de civils bardés de flingues, lesquels la protégeront jusqu’au deuxième volet. Peut-être que cette enclave est située à Easterly, Iowa, à environ cent kilomètres au nord-ouest des ruines de Des Moines. Peut-être que la fille s’appelle Ruby... »

Stony a trois sœurs : Alice, Chelsea, Junie. Et sa mère Wanda, qui l’aime plus que tout. Sans oublier Kwang, son copain de toujours, persuadé que Stony possède un superpouvoir. Parce que Stony est insensible aux flèches que son ami lui plante dans le ventre histoire de rigoler... Il faut dire que Stony ne respire pas. Ne mange pas vraiment. Ne dort jamais. Et pourtant il grandit. Stony ignore ce qu’il est. Il n’a pas pris la mesure de son réel pouvoir. Ça viendra. Reste une interrogation : y en a-t-il d’autres comme lui ? La réponse à cette question emportera tout dans son sillage...

« Lisez ce livre comme une parabole politique mordante ; comme une allégorie religieuse chargée d’ironie ; comme une approche goguenarde de l’altérité ; comme une habile méditation sur le mystère, les limites de la chair ; comme l’un des meilleurs romans de genre de l’année — mais avant tout, lisez-le ! » (James Morrow)

L’Éducation de Stony Mayhall est le premier roman de Daryl Gregory publié en français.

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Deuxième personne du singulier

Adolescente américaine sans histoire, Thérèse est morte voici deux d'une overdose de Z. Z comme zombie ou Z comme zen : c'est là une drogue qui fait davantage qu'altérer la conscience, en l'oblitérant. Définitivement en cas d'abus. Physiquement, Thérèse n'est pas morte. Elle n'est juste plus cette personne que les autres persistent à appeler Thérèse.

Quelque part entre le Greg Egan de « En apprenant à être moi » et le Peter Watts de Vision aveugle, « Deuxième personnel du singulier » de Daryl Gregory questionne avec finesse et humanité les notions d'identité et de conscience au regard des récentes découvertes scientifiques en neurologie.

 

Distribué sous les termes de la licence Creative Commons Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 2.0 France
Parution originale : « Second Person, Present Tense », dans Asimov’s Science Fiction, septembre 2005
Première parution française : Angle mort n° 1, novembre 2010

Gratuit   Télécharger

Bifrost n° 75

Le dernier homme sur Terre ignorait qu’il était le dernier. Et il s’en serait fichu s’il l’avait su. Il n’avait rencontré que de rares humains au cours de sa vie, aucun depuis que sa femme avait cessé de tousser pour se taire à jamais. Quand était-ce arrivé, cela aussi il l’ignorait. Il ne tenait pas le compte des années, ni de quoi que ce soit d’autre. Elle n’était plus pour lui qu’un souvenir flou, mais il en allait de même de tout ce qui datait un peu. La survie au jour le jour mobilisait toute sa ruse et toute sa force, du moins ce qu’il en restait. [...]

Le dernier homme était né dans une ville qui s’appelait jadis Atlanta. Il l’avait fuie lorsqu’une bande de cannibales s’y était établie, rôdant dans ses rues et ses couloirs en quête de viande fraîche. Ils étaient fort communs quelques générations plus tôt, mais leur gibier se faisait rare désormais. Ceux-là périrent bientôt de diverses façons... 

Poul Anderson
In Memoriam

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Bal à l'Ambassade

Une réception dans une ambassade située sur une lointaine exoplanète. Broderick, l’ambassadeur, y végète depuis des années, dans l’attente de la relève, du retour des vaisseaux de l’Empire. Mais il y a des années que plus personne n’a entendu parler de l’Empire… Et il y a cette invitée, qui a fait un étrange rêve.

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