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Féerie pour les ténèbres - 1

Féérie pour les ténèbres

De partout dans le royaume suinte la Technole, monceaux nauséabonds de déchets, de plastique et de bitume qui, en un autre temps, firent la gloire des hommes. Désormais, on ramasse cette Technole dans l’espoir d’y trouver la perle rare. À Caquehan la noire, sinistre capitale du royaume, l’officieur de justice Obicion est confronté à une énigme. À l’endroit où est apparu la Technole pour la première fois, on vient de découvrir un cadavre. Une jeune fille, énuclée, égorgée. Et dont les os sont de plastique.

Dans le même temps, pour sauver sa tête, la belle Malgasta de Sponlieux est contrainte d’accepter un contrat : occire l’intrigante Dame Plommard. Mais comment tuer une personne dont le corps est rempli… de polystyrène ?

Et puis il y a le poète Jobelot, qui n’a qu’un étrange mot à la bouche : Charnaille… Un nom qui éveille des échos du mystérieux En-Dessous.

Ainsi débute Féerie pour les ténèbres, premier roman de Jérôme Noirez, fresque rabelaisienne où la fantasy est contaminée par la société de consommation.

7,99 €

Féerie pour les ténèbres - 2

Le Sacre des orties

Apparue de nulle part, une route égare les camionniers du royaume. Une expédition est montée pour en élucider le mystère — une aventure qui mènera le féeur Quiebroch, Ostre l’ourselet et Mesvolu le rioteux jusqu’aux Brolhs du Sud, territoire dont personne n’est jamais revenu.

Ailleurs, bravant les flots de l’Hibondière, l’intrépide Malgasta vogue avec le capitaine Lentise en direction de l’île d’Eschamat, où une monstruosité décime les sujets du roi et réclame Estrec de Gourios. Ce dernier gît dans une chambre du palais royal, où il vertige de plus en plus profondément dans l’En-Dessous tandis que son corps fusionne davantage chaque jour avec la Technole et croît de manière incontrôlable. Et voilà que les antennes radio de sa carcasse se mettent à capter les réminiscences les plus nauséabondes d’un monde qui pourrait bien être le nôtre.

Sans oublier Grenotte et Gourgou, les deux garnements inséparables, qui vont entamer une dangereuse odyssée au pays des esmoignés, des ossifiés et des fraselés.

Paru en son temps sous le titre Les Nuits vénéneuses, Le Sacre des Orties est le deuxième volet de la trilogie Féerie pour les ténèbres, fresque tenant autant de Jérôme Bosch que de François Rabelais.

7,99 €

Féerie pour les ténèbres

Féérie pour les ténèbres, l'intégrale

De partout, l’En-Dessous vomit la Technole. Sans que l’on sache pourquoi, sourd cette bouillie toxique et nauséabonde qui, en un autre temps, dans un univers bien différent, fit la fierté des hommes, le symbole même de leur domination sur le monde. Des hommes qui, aujourd’hui, exploitent les rebuts de cet univers disparu, mythique, dans des gisements à ciel ouvert aux allures de décharges en quête des oripeaux d’une gloire révolue…

Dans les rues de Caquehan la noire, capitale tentaculaire du royaume, Obicion enquête. Et l’officieur de justice a fort à faire. Le crime est odieux. Une jeune fille. Une adolescente. énucléée. Gorge tranchée ouverte en croix. Là où, précisément, pour la première fois, la Technole fit son apparition… Et à l’horreur s’ajoute l’étrangeté la plus absolue car très vite, il s’avère que les os de la victime sont en… plastique.

Ainsi débute Féerie pour les ténèbres, œuvre gigantesque, drôle et cruelle, aussi épouvantable qu’attendrissante, un monstre littéraire unique, manière de rencontre improbable entre François Rabelais, Lewis Carroll, Jérôme Bosch et Louis-Ferdinand Céline, à travers laquelle Jérôme Noirez tisse une cartographie romanesque saisissante, un objet littéraire démesuré.

Si Féerie pour les ténèbres fut initialement publié en trois parties, la présente édition, définitive, propose en deux forts volumes dans la collection « Kvasar » l’intégrale de l’œuvre complètement révisée par l’auteur, soit trois romans, auxquels s’ajoutent, et ce pour la première fois, six longues nouvelles…

19,99 €

Xeelees - 3

Flux

Voyage au cœur d’une étoile à neutrons…

 

Imaginez une humanité microscopique, une humanité conçue pour vivre dans l’environnement le plus hostile qui soit — le manteau superfluide d’une étoile à neutrons, résidu massif d’une supernova…

Imaginez le souvenir des créateurs de cette micro-humanité perpétué de génération en génération depuis des siècles…

Imaginez enfin la plus incroyable réunion de famille de l’histoire, une réunion sur fond de guerre stellaire séculaire contre les Xeelees et leurs noircroiseurs briseurs d’étoile, une réunion qui pourrait bien décider du futur d’un univers tout entier…

 

Né à Liverpool en 1957, Stephen Baxter est diplômé en mathématiques de l’université de Cambridge. En 1991, il manque de peu la présélection pour devenir astronaute sur la station spatiale Mir. La même année paraît Gravité, son premier roman, qui inaugure le plus célèbre de ses cycles, « les Xeelees », gigantesque fresque spatiale à ce jour composée de quatre romans et d’un recueil de nouvelles — l’ensemble étant en cours de parution aux éditions du Bélial’.

Troisième volet des « Xeelees », Flux peut se lire de façon indépendante, à l’instar des deux précédents tomes, Gravité et Singularité. Pur condensé de science-fiction, roman riche de cette sidération propre au « sense of wonder » anglo-saxon, Flux allie le souffle de l’aventure au vertige des extrapolations scientifiques dans un cadre hors du commun — l’essence même du meilleur de Stephen Baxter.

11,99 €

Bifrost n° 65

Dans son souci, au fil des numéros et depuis plus de 15 années, de tisser un panorama le plus complet possible du large champ des littératures de genre, Bifrost à toujours veillé à porter son regard aussi bien sur les auteurs francophones qu’étrangers, contemporains que classiques. Ainsi, après avoir abordé une immense référence anglophone, l’auteur de Dune, Frank Herbert, dans notre numéro 63, puis un jeune auteur français résolument moderne dans notre 64e livraison, en la personne de Jérôme Noirez (et avant de retourner du côté des fondateurs américains avec Isaac Asimov dans le Bifrost 66), notre 65e opus consacrera un large dossier à un auteur lui aussi francophone mais plus ancien, un écrivain quelque peu oublié (il écrit peu, et œuvre qui plus est depuis des années dans le domaine du roman jeunesse pour l’essentiel), et pourtant ô combien attachant, le romancier français Christian Léourier. Déjà, en 1979, l’universitaire et critique littéraire Roger Bozzetto disait à son propos dans la revue Fiction : « On parle peu de Leourier, on a tort (…), il fait partie des auteurs français qui ont non seulement beaucoup à dire, mais qui le disent d'une manière originale, où la poésie est au service d'une vision du monde bien peu banale. » Pour mémoire, on rappellera que notre auteur fit ses débuts en littérature en 1972 dans la très prestigieuse collection « Ailleurs & demain » des éditions Robert Laffont avec le roman Les Montagnes du soleil, collection qui le publiera une second fois en 1979 avec le très beau La Planète inquiète. Son cycle le plus connu, « Lanmeur » (7 volumes), fut publié entre 1984 et 1994 aux éditions J’ai Lu. Depuis, il apparaît régulièrement au catalogue d’éditeurs aussi divers qu’Actes Sud, Nathan, Mango ou encore Bayard, mais presque exclusivement dans des collections jeunesse.

C’est donc à un auteur rare et précieux que nous avons ici décidé de rendre hommage, un auteur hors du temps et hors des modes, à l’œuvre qui n’est pas sans évoquer celle de l’américaine Ursula K. Le Guin, un écrivain plaçant l’humain et sa destinée au centre de sa création…

Au programme, donc : un récit inédit de Christian Léourier (récit prenant place dans le cycle « Lanmeur »), un très long entretien carrière et une bibliographie exhaustive.

Sans oublier nos rubriques de fonds et critiques habituelles, ainsi que des récits inédits signés Eric Brown, Thierry Di Rollo et Nina Kiriki Hoffman…

… Et bien sûr les Razzies 2012, le Prix du Pire des littératures de genre.

5,99 €

Xeelees - 2

Singularité

« Les Xeelees possédaient l’univers…

Quand les hommes avaient émergé du système solaire en se traînant à vitesse subluminique sur les premiers vaisseaux GUT, ils étaient entrés dans un environnement complexe peuplé de nombreuses races intelligentes dont chacune obéissait à ses propres impératifs et poursuivait ses propres buts. […] Moins de deux siècles après l’époque de Michael Poole, la Terre était conquise, puis transformée en camp de travail par les gestalts aquatiques que les humains avaient appelé les Squeems. [Mais] où que les hommes et les races qu’ils avaient rencontrées regardent, ils voyaient l’empreinte des Xeelees. Se tenant à l’écart de l’univers, ils évoquaient des dieux : indifférents à tout, concentrés sur leurs vastes œuvres et leurs mystérieux projets… »

Né à Liverpool en 1957, Stephen Baxter est diplômé en mathématiques de l’université de Cambridge. En 1991, il échoue aux examens de présélection pour devenir astronaute sur la station spatiale Mir. La même année paraît Gravité, son premier roman, qui inaugure le plus célèbre de ses cycles, « les Xeelees », gigantesque fresque spatiale à ce jour composée de quatre romans et d’un recueil de nouvelles — l’ensemble étant à paraître aux éditions du Bélial’.

Si Singularité est le deuxième volet des « Xeelees », il peut se lire, à l’instar de l’ensemble du cycle, de façon indépendante. Space opera débridé, ce roman cristallise à merveille le vertige propre au meilleur de la science-fiction, une sidération palpable face à la mise en perspective d’un futur peuplé de merveilles et d’étrangetés.

9,99 €

L'Aventure de la cité ultime

Même sans consulter mes notes, je me souviens de cet hiver-là. À la mi-janvier, un froid sibérien s’installa sur Londres avec, semblait-il, l’intention de persister jusqu’à ce qu’ours polaires et loups des steppes viennent prendre leurs quartiers dans nos parcs. N’exerçant pas encore, je restais au coin du feu et me réjouissais de ne pas avoir à suivre Sherlock Holmes dans les rues polies par le verglas et récurées par le vent.

Pensée que je ne tardai pas à regretter.

Depuis deux semaines, Holmes installait chaque matin sa longue silhouette dans son fauteuil, devant la table du petit déjeuner, avalait une bouchée d’œufs au bacon et deux gorgées de café, puis lisait les journaux et les jetait loin de lui avec un soupir exaspéré.

Le grand détective avait tout arrangé autour de lui pour ne pas avoir à quitter le sofa sur lequel il gisait toute la journée, enveloppé dans sa robe de chambre gris souris avec la grâce d’un tas de chiffon abandonné. Sa blague à tabac était posée sur le sol, à sa portée ; sur le manteau de la cheminée, une petite fiole voisinait avec un étui de marocain. Les jours passaient sans qu’il m’adressât la parole autrement que par grognements et monosyllabes. Je voyais le désordre grandir autour du divan tel un chancre sur la chair d’un malade…

Épuisé

Warchild - 2

Burndive

Une guerre spatiale, le temps des changements et la fin des certitudes…

Ryan Azarcon a dix-neuf ans. Fils de l’un des plus célèbres combattants humains, le commandant du transporteur hyperspatial Macédoine Cairo Azarcon, et de la richissime Songlian Lau, il est considéré par les médias de la Jante et des Dragons comme « le célibataire le plus sexy » de la station Austro… Riche, jeune et célèbre, donc. Mais surtout traumatisé par un attentat vécu sur Terre et suite auquel il a interrompu ses études pour revenir se calfeutrer sur Austro et se défoncer à l’Argent au sein d’une jet set aussi désabusée que désœuvrée. Jusqu’à ce qu’une jeune femme s’effondre dans ses bras, morte de s’être trouvée entre lui et un assassin payé pour l’abattre. Qui peut bien vouloir le tuer ? Beaucoup de gens, en fait, humains ou aliens, tant le jeune homme est au centre d’enjeux qui le dépassent. Alors que tout s’écroule autour de lui, que la guerre s’invite dans sa vie dorée, Ryan comprend que le temps des illusions est désormais révolu…

Née au Guyana, Karin Lowachee vit au Canada depuis l’âge de deux ans. Suite à des études de lettres à la York University de Toronto, elle enchaîne quantité de petits boulots. Des expériences qui la conduiront notamment à passer près d’une année à Rankin Inlet, une communauté inuit de quelques centaines d’habitants, dans le Nunavut, sur la côte ouest de la baie d’Hudson. Après Warchild, lauréat du prix Warner Aspect et finaliste au Philip K. Dick Award, et avant Cagebird, Burndive renoue avec le ConcentraTerre et ses guerres extraterrestres. Réflexion sur l’enfance et son statut au cœur des conflits, space opera résolument moderne, tant au regard de sa structure — chaque volet, autonome, offre le point de vue d’un personnage différent sur une trame événementielle commune — que du fait de la maturité des thèmes abordés, cette série s’avère une éclatante réussite.

10,99 €

L'Épouvantail

Le capitaine Lit de Roses ouvrit les yeux. Le grand écran de contrôle était éteint, ainsi que la plupart des tableaux de commandes. Seule la lumière froide de l’éclairage de secours baignait le poste de pilotage, y découpant des ombres fantomatiques. Avec des gestes lents, le colosse à la chevelure d’azur fouilla dans le faisceau de fils et de connexions qui jaillissait d’un panneau éventré. Choisissant une fibre optique dénudée, il l’enfonça dans l’une des trois prises neurales rivées derrière son oreille droite.

Sans résultat. L’informatique de bord était apparemment hors d’usage. Jurant à mi-voix, le capitaine arracha la fibre optique, puis détacha les sangles qui le retenaient prisonnier de son vaste fauteuil anti-g, conçu spécialement pour accueillir sa massive carrure. Originaire d’un monde à forte gravité, il était en effet quasiment aussi large que haut.

Il quitta d’un pas lourd le poste de pilotage et se dirigea vers la salle des machines. En dépit de sa situation pour le moins précaire, il ne pouvait se départir d’un certain sentiment de triomphe. Il avait survécu, alors que toutes les conditions étaient une fois de plus réunies pour mettre fin à sa longue carrière d’aventurier des étoiles. Mais comment ? Si l’ordinateur avait encore fonctionné, sans doute aurait-il pu répondre à cette question ; seulement, il n’était plus qu’un assemblage de circuits inertes.

Épuisé

Xeelees - 1

Gravité

La Ceinture.

Un agrégat de matériaux archaïques peuplé de mineurs.

Rees est l’un d’eux, un rat de mine passant le plus clair de son temps sous cinq g à creuser le cœur de fer de l’étoile morte autour de laquelle la Ceinture gravite. Un travail harassant. Dangereux. Au bénéfice du Radeau, sorte de cité spatiale, siège du savoir scientifique dont tous dépendent pour leur approvisionnement. Il en va ainsi : la Ceinture est sous le joug du Radeau. Depuis des générations... Et la Ceinture gronde. Mais Rees se pose des questions qu’aucun autre ne se pose. D’où viennent les hommes ? Comment sont ils arrivés ici, dans la Nébuleuse ? Il existe des légendes. Qui parlent d’un Vaisseau. De son Équipage... De baleines volantes et des mythiques Osseux.

Rees ne sait pas grand-chose mais il a une certitude : la Nébuleuse se meurt...

Né à Liverpool en 1957, Stephen Baxter est diplômé en mathématiques de l’université de Cambridge. En 1991, il échoue aux examens de présélection pour devenir astronaute sur la station spatiale Mir. La même année paraît Gravité, son premier roman, qui inaugure le plus célèbre de ses cycles, « les Xeelees », gigantesque fresque spatiale à ce jour composée de quatre romans et d’un recueil de nouvelles — l’ensemble étant à paraître aux éditions du Bélial’.

Considéré comme l’héritier littéraire de son compatriote Arthur C. Clarke, avec lequel il a collaboré à plusieurs occasions, il a publié à ce jour une trentaine de romans et plus de cent nouvelles. Un corpus impressionnant qui lui a valu une kyrielle de prix, dont le prestigieux Philip K. Dick Award à deux reprises.

10,99 €

Ça vient de paraître

L'Énigme de l'Univers

Le dernier Bifrost

Bifrost n° 118
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