Sommaire
- Prélude : Note sur les leitmotive
- La Roue triangulaire
- Interlude : Notes pour une définition de l'apparentement
- Un soleil invisible
- Ésaü
- Interlude : Un mot du Matelot
- Cache-cache
- L'Ethnicité sans peine
En ce XXIIIe siècle trépidant, l’humanité s’est implantée sur nombre de planètes, se frottant à un univers exotique grouillant de vie. Afin de protéger leurs intérêts, les négociants interstellaires ont formé une alliance : la Ligue polesotechnique. Nicholas van Rijn, fondateur de la Compagnie solaire des épices et liqueurs, est le plus flamboyant de ces princes-marchands : le présent volume, totalement inédit, réunit le deuxième volet de ses aventures picaresques…
Apparu en 1956 dans les pages d’Astounding Science Fiction, personnage falstaffien hâbleur et roublard, infatigable arpenteur de mondes et négociateur hors pair, Nicholas van Rijn incarne pour beaucoup la figure majeure du héros andersonien. Les cinq volumes de « La Hanse galactique » proposent, pour la première fois en français, l’intégrale des aventures du plus populaire des personnages de Poul Anderson, sans oublier celles de ses compagnons emblématiques : David Falkayn, Chee Lan et Adzel.
« Si ce deuxième opus des cinq volumes consacrés à « La Hanse galactique » laisse un peu en retrait Nicholas van Rijn, le flamboyant directeur de la Compagnie Solaire des Épices & Liqueurs, c’est pour faire place à d’autres personnages de la Ligue polesotechnique, qui résolvent à leur tour de tortueuses énigmes planétaires. Ainsi, comment transporter sur une longue distance un lourd générateur à même de réparer un vaisseau spatial et de quitter une planète où rien n’est comestible pour l’humain, avant épuisement des provisions, quand une puissante théocratie interdit l’usage de la roue, et donc de moyens de... » Bifrost
«Car le bilan global est tout à fait positif. Aux comptoirs du cosmos m’a bien plus convaincu que Le Prince-Marchand, et, dois-je dire, c’était sans doute exactement le livre que j’avais besoin de lire en ce moment : quelque chose de léger dans le ton mais certainement pas bête pour autant, des idées ingénieuses et de l’aventure, l’émerveillement permanent d’une SF exotique et rusée, débordant d’imagination. « Old school », oui, mais de la plus belle eau – au point où l’on peut aisément faire abstraction de quelques faiblesses récurrentes, et sans doute typiques de l'époque, humour un peu lourdingue et personnages féminins navrants. » Nébal
« Toujours écrites avec beaucoup de drôlerie, beaucoup de rebondissements et un final qui laisse pantois, ces aventures sont de la bonne SF traditionnelle, celle qui vous fait rêver en vous apportant une bouffée d’optimisme. À lire impérativement, de préférence en sirotant l’une de ces boissons affublées d’un petit parasol. » Les coups de cœur de Jean-Luc Rivera