Sommaire
- Avant-propos de Jean-Daniel BRÈQUE
- Réflexion historique
- Territoire
- Plus ça change, plus c’est la même chose
- Les Tordeurs de troubles
- Le Jour du Grand Feu
- La Clé des maîtres
- Chronologie de la « Civilisation technique » de Sandra MIESEL
En ce XXIIIe siècle trépidant, l’humanité s’est implantée sur nombre de planètes, se frottant à un univers exotique grouillant de vie. Afin de protéger leurs intérêts, les négociants interstellaires ont formé une alliance : la Ligue polesotechnique. Nicholas van Rijn, fondateur de la Compagnie solaire des épices et liqueurs, est le plus flamboyant de ces princes-marchands : le présent volume, totalement inédit, réunit le troisième volet de ses aventures picaresques…
Apparu en 1956 dans les pages d’Astounding Science Fiction, personnage falstaffien hâbleur et roublard, infatigable arpenteur de mondes et négociateur hors pair, Nicholas van Rijn incarne pour beaucoup la figure majeure du héros andersonien. Les cinq volumes de « La Hanse galactique » proposent, pour la première fois en français, l’intégrale des aventures du plus populaire des personnages de Poul Anderson, sans oublier celles de ses compagnons emblématiques : David Falkayn, Chee Lan et Adzel.
« Trois nouvelles, une novella, un prélude et un interlude sont au sommaire de ce troisième volume consacré à la Hanse galactique. Poul Anderson y déploie son modèle d’échanges commerciaux avec toujours la même rigueur scientifique pour le contexte, le même pragmatisme dans l’élucidation, l’humour décalé, voire cynique, face à des situations qui imposent de « savoir comment a évolué une espèce avant de pouvoir l’exploi… Je veux dire : la comprendre », selon les propres termes du maître de la compagnie des Épices et alcools, Nicholas van Rijn. Démonstration immédiate avec « Territoire », sur t’Kela, où une société carnivore, au comportement de meute, méprise les pacifistes, proies dont on dispose à sa... » Bifrost
« Ces quatre textes se lisent avec plaisir, car Poul Anderson y fait montre d’inventivité à plusieurs niveaux. Chaque texte est l’occasion de découvrir une planète étrangère soigneusement pensée. Géographie, population, système politique... figurent au centre des intrigues et agrémentent le déroulement des récits. Même si l’action est omniprésente, elle ne prend pas le pas sur la réflexion, les histoires jouent sur les deux tableaux. L’intérêt de ce recueil Les coureurs d’étoiles réside aussi dans ses personnages. Ces derniers sont tous fort différents, chacun avec ses qualité et ses faiblesses, mais tous dignes représentants de la Ligue Polesotechnique. » La Yozone