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Après un mois d'absence, l'Homme des Bois est de retour ! Retrouvez Francis Valéry dans son Journal !

Découvrez la couverture définitive, maquettée, du Bifrost 68 spécial Ian McDonald à paraître le 25 octobre 2012 !

Bifrost fait sa rentrée littéraire, deuxième partie ! À découvrir sur le blog, une sélection de livres dont vous n'entendrez jamais parler ailleurs !

« Prolongement en pointillés de l’œuvre principale, ces nouvelles, comme autant de paliers de décompression, nous font lentement émerger de l’En-Dessous, achevant en douceur une symphonie littéraire que l’on quitte à regret. Monument unique et polymorphe, Féerie pour les Ténèbres est un trésor de poésie qu’il faut découvrir. » Culturellement Geek

« Après quelques six cents pages de lecture, Féerie pour les Ténèbres m’est toujours aussi inqualifiable, expérience littéraire étrange [...]. C’est éreintant, drôle pourtant, et emplit du mystère dont sont faits les rêves – ou les cauchemars. Une seule chose est sûre : une fois entré dans le récit, ce qui vient très vite, l’auteur ne nous lâche plus avant la dernière page. Et encore… » Culturellement Geek

« Poul Anderson nous conte plus qu’une traversée scientifique, certes imaginaire, mais aussi et surtout une véritable aventure humaine, philosophique, théologique, et psychologique, à la conquête du Cosmos. Un livre dense, vivant et réellement intriguant, avec une fin tout bonnement vertigineuse. » SensCritique

À l'occasion de la rentrée littéraire, découvrez sur le blog Bifrost la première partie de la sélection spécial imaginaire des amis et collaborateurs de la revue !

Cette semaine dans la Bibliothèque Orbitale de Philippe Boulier, sex, drugs & rock'n'roll avec Apathy for the devil du rock critic Nick Kent et la suite de la rétrospective Roland C. Wagner !

Retrouvez sur l'onglet Critiques toutes les chroniques de livres du Bifrost n° 53 ainsi que son guide de lecture spécial China Miéville !

« En tant que nouvelles isolées, Le Père des pierres et Le Crâne (et dans une légèrement moindre mesure, L'homme qui peignit le dragon Griaule) seraient déjà des réussites majeures. La continuité subtile, les effets de contraste et de résonance à travers le temps et les personnages, permis par l'assemblage des six longues nouvelles, construisent un grand roman à facettes. » Librairie Charybde