Critiques Bifrost 51
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Retrouvez sur l'onglet Critiques toutes les chroniques de livres du Bifrost n° 51 et son indispensable guide de lecture spécial Lucius Shepard !
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Retrouvez sur l'onglet Critiques toutes les chroniques de livres du Bifrost n° 51 et son indispensable guide de lecture spécial Lucius Shepard !
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Batman vient hanter le blog Bifrost ! Retrouvez l'article que Philippe Paygnard a consacré au justicier de Gotham City dans le Bifrost n°7…
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Dans les Cosmicomics de juillet, pas de trêve estivale pour les super-héros !
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Retrouvez sur l'onglet Critiques les chroniques de livres du Bifrost n° 50 spécial Tim Powers !
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Les nouvelles du recueil Aztechs de Lucius Shepard sont maintenant disponibles à la pièce en version numérique !
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« L’écriture de Shepard est limpide. Le plaisir du style est intense. D’un classicisme qui rappelle vigoureusement le XIXème siècle (avec même quelques termes désuets et charmants), à une narration bien plus contemporaine pour Le Crâne, le style riche et imagé de Shepard emmène le lecteur, en sollicitant tous ses sens, dans le monde qu’il décrit, au fil d’une lecture que le plaisir formel rend aisée et rapide. C’est un livre à lire absolument si on aime la littérature. » Gromovar
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Sur le blog Bifrost, retrouvez l'interview qu'avait donnée Roland C. Wagner au fanzine La Geste en 1994, évoquant rock, SF et création littéraire…
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« Il serait bien dommage que la France, grâce aux editions du Bélial qui ont fait ici un travail éditorial remarquable (superbe couverture de Manchu, traduction impeccable et préface de Jean-Daniel Brèque et postface particulièrement éclairante du passionnant scientifique vulgarisateur Roland Lehoucq) , ne l’estime pas à sa juste valeur. Superbe, de bout en bout ! » lorkhan
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« Non, décidément, une fois ce livre refermé, on a du mal à croire qu'il ait fallu attendre quarante ans pour qu'il soit traduit. Et l'on espère vivement que les éditions du Bélial vont continuer leur travail de redécouverte de l'auteur essentiel qu'est Poul Anderson. » nooSFere
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« Un roman fascinant qui n’a pas été sans me rappeler certaines des meilleures nouvelles de Greg Egan (rhââââââ, Des raisons d’être heureux !) et qui acquiert au passage une forte dimension humaine, sincèrement émouvante, qui montre bien qu’on aurait tort de réduire la production de l’auteur australien à de la "SF d’ingénieur". »