Février 2455. Six mois ont suffi à faire voler en éclats trois siècles de prospérité. Six mois d’une guerre civile à l’échelle mondiale. Six mois au cours desquels les Ruches sont entrées en conflit ouvert. Six mois d’un black-out inquiet, où l’accès instantané à l’information et les déplacements ultrarapides n’ont plus cours. Six mois d’horreurs… et aucune perspective de paix. Dans ce monde où la technologie est si avancée que n’importe quel objet industriel peut se muer en arme de destruction massive, où voisins et membres d’une même famille peuvent appartenir à des Ruches désormais ennemies mortelles, deux grandes factions s’opposent : les pro-Ruches, brûlants de réformer ces dernières, face au dieu vivant J.E.D.D. Maçon et ses séides, désireux de bâtir un système plus juste mais qui ignorent encore comment. Tandis qu’en coulisses se joue un autre conflit crucial : celui de l’orientation future de l’humanité… Atteindre les étoiles ne serait-il plus qu’un projet chimérique ?
Diplômée de Harvard, Ada Palmer enseigne au département d’histoire de l’université de Chicago. Le cycle « Terra Ignota », jugé « incroyablement ambitieux et révolutionnaire » par The Guardian, est l’un des projets littéraires les plus stupéfiants que la science-fiction moderne ait produit, quelque part entre Dune et Hypérion, entre philosophie des Lumières et sidération radicale. Peut-être les étoiles est l’ultime volet de ce qui est sans doute aucun le grand-œuvre SF de ce début de XXIe siècle.
L’actu du livre
- Grand Prix de l'Imaginaire 2023 : les lauréats ! (19 mai 2023)
- Soirée Terra Ignota à la librairie Le Nuage vert (14 mars 2023)
- Utopiales 2022 (28 octobre 2022)
- Ada Palmer et Jo Walton de retour à Paris (26 octobre 2022)
- Ada Palmer et Jo Walton à Lille (24 octobre 2022)
- Ada Palmer en dédicace à la Fnac Montparnasse (21 octobre 2022)
- Double sortie du jour (20 octobre 2022)
- Rencontre avec Ada Palmer à Imaginaute (19 octobre 2022)
- Ada Palmer en dédicace à Ombres Blanches (18 octobre 2022)
- “Peut-être les étoiles” : précommande ouverte (04 octobre 2022)
- Ada Palmer et Jo Walton en dédicace à Toulouse (04 octobre 2022)
Bonus
Revue de presse
« À quelques jours près, trois années auront été nécessaires aux éditions du Bélial’ pour achever la publication de « Terra Ignota », cinq volumes d’une œuvre immense, tant par le travail qu’elle représente que par ce qu’elle a apporté à l’Imaginaire au sens large, et à la science-fiction en particulier. Il faut saluer, une fois encore, l’exceptionnel travail de traduction de Michelle Charrier, dont la plume est désormais indissociable de tout ce que cet univers représente pour ses lecteurs francophones. Avec les dernières pages arrive enfin le terme de la guerre : les... » Bifrost
« Peut-être les étoiles achève « Terra Ignota », un cycle tentaculaire, marquant tant au niveau de la forme que du fond. Profondément original, il fait preuve d’exigence, ne versant jamais dans la facilité et demandant aux lecteurs une participation active. La science-fiction est une littérature d’idées, entre autres tournée vers le devenir de l’humanité, ce qu’Ada Palmer a parfaitement compris. » La Yozone
« À l’heure où un conflit menaçant embrase un bout de l'Europe, à l'heure où la communication devient de plus en plus incontrôlée, Terra Ignota jette sur notre monde une lueur inquiétante. La maîtrise du récit, l'intelligence des interrogations et le souffle d'une autrice capable de nous emporter font de cette longue saga une œuvre qui prendra sans doute place, quelque part entre Dune et Hypérion, parmi les grandes réussites du genre. » Hubert Prolongeau – Marianne
« Confirmant l’incroyable générosité qu’on sentait courir au long des précédents livres, le volume final nous propose une vision de l’avenir optimiste, progressiste mais nuancée, faisant de Terra ignota une utopie moderne, une preuve des pouvoirs de la science-fiction et, grâce à la finesse de son écriture, au soin de sa construction, à la force de ses émotions, un chef-d’œuvre de la littérature. » En Attendant Nadeau
« Chef d’œuvre. Le vrai le beau le pur, la baffe cosmique en travers du cortex, l’expression parfaite d’une ambition merveilleuse ; la preuve indéniable désormais, pour moi, qu’Ada Palmer n’avait pas signé un chèque en bois. (…) Cette tétra(penta)logie est déjà un monument enthousiasmant, la preuve fracassante des possibilités qu’offre un Imaginaire aussi spectaculaire que maîtrisé. » Le Syndrome Quickson