Le Sultan des nuages
(The Sultan of the Clouds, 2010)
L’humanité a colonisé le système solaire au bénéfice de consortiums privés omnipotents régnant sur les transports spatiaux. Et ce jusqu’à la plus infernale des planètes, Vénus, dans l’atmosphère létale de laquelle flottent de stupéfiantes cités volantes, véritables miracles de technologie high tech. Plusieurs milliers d’entre elles sont sous la coupe d’un seul et même individu, Carlos Fernando Delacroix Ortega de la Jolla y Nordwald-Gruenbaum, le sultan des nuages, qui n’entrera en pleine possession de son héritage qu’une fois marié, et dont l’immense pouvoir attire toutes les convoitises. Pour David Tinkerman et le Dr Léa Hamakawa, scientifiques récemment arrivés de Mars en vue d’une expertise, les forces souterraines à l’œuvre autour du jeune satrape vont vite s’avérer plus mortelles que Vénus elle-même…
« Les récits de science-fiction ne sont pas avares en idées brillantes. Dans le cas de Landis, la brillance des idées est renforcée par la force émotionnelle de ses textes. Il écrit sur la science et le monde scientifique avec un humanisme saisissant. » GARDNER DOZOIS
Le Sultan des nuages, finaliste du prix Nebula, est lauréat du prix Theodore Sturgeon 2011
Bonus
Revue de presse
« Dans ce lointain futur, des consortiums privés régissant les transports spatiaux ont colonisé le système solaire. Malgré la chaleur et l’atmosphère acide, l’humanité prospère sur Vénus à bord de villes flottantes positionnées à une idéale distance de la surface. Plusieurs milliers d’entre elles appartiennent au même empire industriel de Nordwald-Gruenbaum, fruit de l’association de deux familles qui avaient trouvé dans le mariage le moyen d’empêcher une concurrence néfaste à leurs intérêts. C’est la raison pour laquelle l’actuel descendant, encore adolescent, Carlos Fernando Delacroix Ortega de la Jolla y... » Bifrost
« Le Sultan des nuages s’avère aussi distrayant qu’intelligent. La science s’efface derrière les manigances humaines, œuvrant aussi bien à l’échelle de l’individu qu’à celle d’une planète. Geoffrey A. Landis cache très bien les enjeux cachés, menant parfaitement le récit, savant mélange d’explications scientifiques, d’action et de sentiments.
Un nouveau Une Heure-Lumière à conseiller ! Une collection qui ne cesse de s’étoffer par des novellas de qualité. » La Yozone
« Une lecture dépaysante, avec un fond scientifique crédible sans verser dans une hard science rébarbative, font de cette novella un bon moment. » Les Lectures de Xapur