Tirage d'art "Méandres sous la baltique"
Illustration tirée du livre Gotland. Tirage d'art dans un format total de papier de 21x29 cm, tirage pigmentaire sur papier neutre, 100% coton (environ 310g), numéro, signé, tirage à 50 exemplaires.
Disponible À paraître Bientôt épuisé En réimpression Épuisé
Illustration tirée du livre Gotland. Tirage d'art dans un format total de papier de 21x29 cm, tirage pigmentaire sur papier neutre, 100% coton (environ 310g), numéro, signé, tirage à 50 exemplaires.
Dans le cadre de la réalisation du livre Gotland, Nicolas Fructus a sculpté en plastiline deux séries limitées de statues, le Totem des Sombres Pensées et la Créature Sortant de l'Oeuf. Ces sculptures ont été moulées et tirées par David Gavelle.
Sculpture de 11 cm, environ 200g, en résine et bronze, avec une charge de bronze à 150 %, patine vert-de-gris, tirage à 100 exemplaires, numéroté, signé, avec justificatif.
Un certain nombre d'exemplaires de ces tirages ont été acquis lors du crowdfunding Gotland.
Contient :
Contient :
Épuisé
Dans le cadre de la réalisation du livre Gotland, Nicolas Fructus a sculpté en plastiline deux séries limitées de statues, le Totem des Sombres Pensées et la Créature Sortant de l'Oeuf. Ces sculptures ont été moulées et tirées par David Gavelle.
Sculpture de 16 cm x 15 cm x 11 cm, environ 1200g, en résine et bronze, avec une charge de bronze à 150 %, patine vert-de-gris, tirage à 30 exemplaires, numéroté, signé, avec justificatif.
Un certain nombre d'exemplaires de ces tirages ont été acquis lors du crowdfunding Gotland.
Au XXIIIe siècle, alors que l'humanité s'est implantée sur quantité de planètes, les négociants interstellaires forment une alliance afin de protéger leurs intérêts : la Ligue polesotechnique. Nicholas van Rijn, directeur de la Compagnie solaire des épices et liqueurs, est le plus flamboyant de ces princes-marchands : le présent volume réunit ses aventures initiales…
Apparu en 1956 dans les pages d'Astounding Science Fiction, personnage falstaffien hâbleur et roublard, infatigable arpenteur de mondes et négociateur hors pair, Nicholas van Rijn incarne pour beaucoup la figure majeure du héros andersonien. Les cinq volumes de la « Hanse galactique » présentent pour la première fois en français l'intégrale des aventures du plus populaire des personnages de Poul Anderson, sans oublier celles de ses compagnons emblématiques : David Falkayn, Chee Lan et Adzel. Un événement…
Au XXIIIe siècle, alors que l'humanité s'est implantée sur quantité de planètes, les négociants interstellaires forment une alliance afin de protéger leurs intérêts : la Ligue polesotechnique. Nicholas van Rijn, directeur de la Compagnie solaire des épices et liqueurs, est le plus flamboyant de ces princes-marchands : le présent volume réunit ses aventures initiales…
Apparu en 1956 dans les pages d'Astounding Science Fiction, personnage falstaffien hâbleur et roublard, infatigable arpenteur de mondes et négociateur hors pair, Nicholas van Rijn incarne pour beaucoup la figure majeure du héros andersonien. Les cinq volumes de la « Hanse galactique » présentent pour la première fois en français l'intégrale des aventures du plus populaire des personnages de Poul Anderson, sans oublier celles de ses compagnons emblématiques : David Falkayn, Chee Lan et Adzel. Un événement…
« Imric n’eut qu’un bref aperçu d’une massive silhouette encapée, chevauchant une monture plongeant vers la terre, plus rapide que le vent, un gigantesque cheval à huit pattes monté par un homme à la longue barbe grise et au chapeau à larges bords. L’éclat de la lune accrocha la pointe de sa lance et son œil unique… Il traversait les cieux à la tête de sa troupe de guerriers morts, et les chiens aux yeux de feu aboyaient comme le tonnerre. Sa corne hurla dans la tempête, les sabots de sa monture tambourinaient comme la grêle tombant sur un toit ; et […] la pluie se déchaîna sur le monde. »
Voici l’histoire d’une épée qu’on dit capable de trancher jusqu’aux racines mêmes d’Yggdrasil, l’Arbre du Monde. Une épée dont on dit qu’elle fut brisée par Thor en personne. Maléfique. Forgée dans le Jotunheim par le géant Bölverk, et appelée à l’être à nouveau. Une épée qui, une fois dégainée, ne peut regagner son fourreau sans avoir tué. Voici l’histoire d’une vengeance porteuse de guerre par-delà le territoire des hommes. Un récit d’amours incestueuses. De haine. De mort. Une histoire de destinées inscrites dans les runes sanglantes martelées par les dieux, chuchotées par les Nornes. Une histoire de passions. Une histoire de vie…
« Lire L’Épée brisée, c’est comprendre en grande partie les origines d’une tradition parallèle de la fantasy représentée entre autres par M. John Harrison, Philip Pullman et China Miéville, des écrivains qui rejettent le confort d’un pub oxfordien et restent délibérément proches de résonances mythiques plus profondes », dit Michael Moorcock. Et le créateur d’Elric de rajouter qu’il s’agit là « d’un des plus influents livres de fantasy » qu’il ait jamais lus. Publié aux USA en 1954, à l’instar du premier volet du Seigneur des Anneaux, dont il s’avère une antithèse brutale. Un chef-d’œuvre jamais traduit en France. Jusqu’à ce jour.
« Imric n’eut qu’un bref aperçu d’une massive silhouette encapée, chevauchant une monture plongeant vers la terre, plus rapide que le vent, un gigantesque cheval à huit pattes monté par un homme à la longue barbe grise et au chapeau à larges bords. L’éclat de la lune accrocha la pointe de sa lance et son œil unique… Il traversait les cieux à la tête de sa troupe de guerriers morts, et les chiens aux yeux de feu aboyaient comme le tonnerre. Sa corne hurla dans la tempête, les sabots de sa monture tambourinaient comme la grêle tombant sur un toit ; et […] la pluie se déchaîna sur le monde. »
Voici l’histoire d’une épée qu’on dit capable de trancher jusqu’aux racines mêmes d’Yggdrasil, l’Arbre du Monde. Une épée dont on dit qu’elle fut brisée par Thor en personne. Maléfique. Forgée dans le Jotunheim par le géant Bölverk, et appelée à l’être à nouveau. Une épée qui, une fois dégainée, ne peut regagner son fourreau sans avoir tué. Voici l’histoire d’une vengeance porteuse de guerre par-delà le territoire des hommes. Un récit d’amours incestueuses. De haine. De mort. Une histoire de destinées inscrites dans les runes sanglantes martelées par les dieux, chuchotées par les Nornes. Une histoire de passions. Une histoire de vie…
« Lire L’Épée brisée, c’est comprendre en grande partie les origines d’une tradition parallèle de la fantasy représentée entre autres par M. John Harrison, Philip Pullman et China Miéville, des écrivains qui rejettent le confort d’un pub oxfordien et restent délibérément proches de résonances mythiques plus profondes », dit Michael Moorcock. Et le créateur d’Elric de rajouter qu’il s’agit là « d’un des plus influents livres de fantasy » qu’il ait jamais lus. Publié aux USA en 1954, à l’instar du premier volet du Seigneur des Anneaux, dont il s’avère une antithèse brutale. Un chef-d’œuvre jamais traduit en France. Jusqu’à ce jour.
Revues - Bifrost - 73
Du plus loin qu’il m’en souvienne, je me rendais dans la maison jaune pour le compte de ma mère. Chaque mercredi matin vers neuf heures, j’ouvrais cette bâtisse défraichie avec une clé du trousseau qu’elle m’avait confié. A l’intérieur, il y avait un vestibule et deux portes, dont l’une, enfoncée, donnait sur un escalier branlant. Je déverrouillais l’autre et j’entrais dans l’appartement obscur. Le corridor, au lustre toujours éteint, sentait l’humidité et la vieillesse. Jamais je n’ai effectué ne serait-ce que deux pas dans ce petit couloir où la moisissure se mêlait aux ombres et qui semblait disparaître un peu plus loin. Comme la porte de la chambre de Mrs. Miller se trouvait juste devant moi, je me contentais de me pencher et de frapper au battant…
China Miéville
Les Détails
11,00 €