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Les livres du Bélial'

Maison indépendante créée en 1996, les éditions du Bélial' consacrent leur catalogue aux littératures de genre (le fantastique, la fantasy et la science-fiction, avec un intérêt tout particulier pour ce dernier domaine).

Éditeur de la revue trimestrielle Bifrost, le Bélial' publie une dizaine d'ouvrages chaque année romans, recueils et anthologies qui présentent un panorama exigeant des auteurs d'aujourd'hui et de demain, sans oublier les grands anciens, les pionniers, souvent proposés dans de nouvelles traductions et éclairés d'un appareil critique incontournable.

Le Bélial', c'est le meilleur des littératures de genre : de Greg Egan à Lucius Shepard et Stephen Baxter, de Claude Ecken à Thierry Di Rollo ou Catherine Dufour...

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Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Cycle de la Culture

L'Essence de l'art

« Banks a ici réécrit le libretto de l’ensemble du space opera… » The Times

La Culture…

Une vaste société galactique, anarchique, protéiforme, pacifique. Une société qui nous observe depuis les entrailles d’Arbitraire, vaisseau géant doué de raison en proie à un profond dilemme à mesure que nous autres, pauvres humains, nous déchirons sans relâche et détruisons notre planète sous ses yeux électroniques. Faut-il intervenir, quitte à provoquer un bouleversement qui pourrait s’avérer le plus terrible des remèdes ? En d’autres termes : notre civilisation mérite-t-elle d’être sauvée, et si oui à quel prix ? Car après tout, se frotter ainsi à la barbarie humaine peut s’avérer plus fascinant qu’on ne l’imagine… N’y a-t-il pas ici un risque pour la Culture elle-même ?

Iain M. Banks est né à Fife (Ecosse) en 1957. Après des études de philosophie, de littérature anglaise et de psychologie à l'Université de Stirling, il publie Le Seigneur des guêpes, son premier roman, en 1984. EntreFer paraît en 1986, puis Une forme de guerre, son premier roman de science-fiction, l’année suivante — ouvrage fondateur de ce qui constituera bientôt la « Culture », l’un des cycles majeurs du domaine. Quant à son auteur, il est désormais considéré comme l’un des écrivains les plus innovants de sa génération, décrit comme un « phénomène » par William Gibson et le « standard auprès duquel se mesure l’ensemble de la science-fiction » d’après The Guardian.

L’Essence de l’art, qui participe de la « Culture », réunit huit nouvelles et constitue à ce jour l’unique recueil de Iain M. Banks.

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Sous des cieux étrangers

« Lucius Shepard est sans équivalent. » The Times

« Tout cela s’est passé il n’y a pas si longtemps sur la station Solitaire, par-delà l’orbite martienne, là où sont assemblés et lancés les astronefs de reconnaissance qui s’évanouissent dans une gerbe de feu de plusieurs milliers de kilomètres de diamètre, et c’est arrivé à un homme du nom de William Stamey, mieux connu sous le sobriquet de Bernacle Bill. Une minute, rétorquerez-vous sans doute, j’ai déjà entendu cette histoire. Elle a été racontée et reracontée. À quoi bon la ressasser ? Mais qu’avez-vous vraiment entendu ? »

En cinq longs récits d’une implacable justesse, Sous des cieux étrangers, manière de pendant à Aztechs, lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire 2007, fait éclater les frontières des genres et célèbre la modernité d’une littérature ciblant le cœur de l’âme humaine.

Né en 1947, en Virginie, Lucius Shepard est un écrivain voyageur. Ainsi depuis ses quinze ans, âge où il quitte les États-Unis en cargo pour rejoindre l’Irlande, il n’a cessé de parcourir le monde : Europe, Sud-Est asiatique et, surtout, Amérique centrale — où il couvrira notamment la guerre civile au Salvador comme journaliste freelance. Mille métiers pour mille voyages, et une œuvre unique qui mobilise et émeut tant Lucius Shepard excelle à revister le matériau de son vécu pour en extraire une vision du monde pétrifiante de vérité.

Considéré outre-Atlantique comme un écrivain majeur, quelque part entre Ernest Hemingway et Joseph Conrad, il est lauréat de huit prix Locus, un Hugo, un Nebula et deux World Fantasy Award.

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Xeelees - 2

Singularité

« Les Xeelees possédaient l’univers…

Quand les hommes avaient émergé du système solaire en se traînant à vitesse subluminique sur les premiers vaisseaux GUT, ils étaient entrés dans un environnement complexe peuplé de nombreuses races intelligentes dont chacune obéissait à ses propres impératifs et poursuivait ses propres buts. […] Moins de deux siècles après l’époque de Michael Poole, la Terre était conquise, puis transformée en camp de travail par les gestalts aquatiques que les humains avaient appelé les Squeems. [Mais] où que les hommes et les races qu’ils avaient rencontrées regardent, ils voyaient l’empreinte des Xeelees. Se tenant à l’écart de l’univers, ils évoquaient des dieux : indifférents à tout, concentrés sur leurs vastes œuvres et leurs mystérieux projets… »

Né à Liverpool en 1957, Stephen Baxter est diplômé en mathématiques de l’université de Cambridge. En 1991, il échoue aux examens de présélection pour devenir astronaute sur la station spatiale Mir. La même année paraît Gravité, son premier roman, qui inaugure le plus célèbre de ses cycles, « les Xeelees », gigantesque fresque spatiale à ce jour composée de quatre romans et d’un recueil de nouvelles — l’ensemble étant à paraître aux éditions du Bélial’.

Si Singularité est le deuxième volet des « Xeelees », il peut se lire, à l’instar de l’ensemble du cycle, de façon indépendante. Space opera débridé, ce roman cristallise à merveille le vertige propre au meilleur de la science-fiction, une sidération palpable face à la mise en perspective d’un futur peuplé de merveilles et d’étrangetés.

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Greg Egan - Intégrale raisonnée des nouvelles - 3

Océanique

« Il devait venir ici pour être rendu à la chair. »

Un match de football quantique pratiqué par des joueurs âgés de plusieurs millénaires.

Des mathématiques en guise d’arme de destruction massive dans une guerre interunivers.

Le premier voyage de l’homme vers les étoiles, bien après l’Âge de Chair, en pleine ère transhumaine.

L’amour négocié par le biais des nanomachines.

Des jingles publicitaires si efficients qu’ils en deviennent quasi mortels.

La foi mise en équation chimique.

La transplantation cérébrale comme rêve d’immortalité.

Greg Egan bâtit son futur en disséquant le présent avec une virtuosité implacable : nous voici prévenus.

Ecrivain australien né à Perth en 1961, Greg Egan publie son premier récit en 1983. Vingt-cinq ans plus tard, après avoir révolutionné la science-fiction à travers sept romans et une soixantaine de nouvelles — un talent unique salué par le prix Hugo et le John W. Campbell Memorial Award —, il est unanimement considéré comme l’écrivain le plus fascinant de sa génération et la meilleur clé qu’offre le domaine pour appréhender les vertiges annoncés du siècle nouveau. Son huitième roman, Zendegi, paraîtra outre-Manche en 2010.

Océanique est le troisième volet de l’intégrale raisonnée des nouvelles de Greg Egan publiée aux éditions du Bélial’, en collaboration avec Quarante-Deux — un projet éditorial unique au monde. Ce volume, qui réunit treize longs récits dont six textes totalement inédits, achève de consacrer son auteur comme l’incontournable chef de file d’une science-fiction déterminée à décrypter notre monde et ses enjeux.

Épuisé  

La Créode et autres récits futurs

Le meilleur des textes SF de Joëlle Wintrebert : dix-neuf récits, un inédit, un Prix Rosny Aîné !

 

Avec un sommaire de dix-neuf nouvelles, La Créode propose une sélection courant sur plus de trente années de création littéraire. Un imposant volume qui ambitionne de présenter l’exceptionnel talent de Joëlle Wintrebert, l’un des tout meilleurs écrivains de science-fiction contemporains et l’une des rares femmes du domaine ; un recueil qui se veut avant tout une invite à la découverte d’une des œuvres les plus fascinantes de la SF moderne.

 

Au programme, donc :

• un avant-propos signé Yves Frémion,

• dix-neuf récits, dont un inédit et un Prix Rosny Aîné,

• une postface de Joëlle Wintrebert,

• une étude par Roland C. Wagner,

• une interview,

• une bibliographie exhaustive.

 

Née en 1949 à Toulon, Joëlle Wintrebert publie ses premières nouvelles à la fin des années soixante-dix, notamment dans l’anthologie périodique Univers, anthologie qu’elle dirigera d’ailleurs à trois reprises. Son premier roman, Les Olympiades truquées, paraît en 1980 — ouvrage qui décrochera sept ans plus tard, à la faveur d’une réédition, le prestigieux prix Rosny Aîné. Une vingtaine de livres suivront, principalement dans les domaines de la science-fiction, mais aussi dans ceux du fantastique ou encore du roman historique.

 

La Créode rassemble des récits jamais réunis, une sélection qui se veut le « best of » des meilleures nouvelles de science-fiction de Joëlle Wintrebert.

 

« Superbe rétrospective pour les initiés, ce recueil se révèle également une excellente porte d’entrée pour le profane. Il était plus que temps de rendre hommage à l’un des plus grands auteurs de la science-fiction française, gardienne d’un univers très personnel aux thématiques savamment entremêlées. »

Tallis, Le Cafard cosmique

 

« On ne sort pas intact de la lecture de La Créode. Les mots sont redoutables. Poétiques, efficaces. Certains textes refusent de vous quitter. Certaines images s’incrustent durablement dans la mémoire. [...] La Créode, de ce fait est vivement déconseillée à quiconque cherche une lecture superficielle qui ne laisserait aucune trace. Pour les autres, curieux de découvrir ou de voir autrement l’imaginaire foisonnant de l’auteur de Chromoville, des Olympiades truquées, de Pollen, ce recueil mérite le détour. »

Ketty Steward, ActuSF

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La Patrouille du Temps - 4

Le Bouclier du temps

Le quatrième et ultime volet inédit d’un des plus grands classiques de la SF moderne !

 

– Vous ferez l’affaire. Sans conteste.

– L’affaire pour quoi ?

Everard se pencha ; il sentit son pouls s’accélérer.

– Pour la Patrouille. Vous allez devenir une sorte de policier.

– Ouais ? Où ça ?

– Partout. Et en tout temps. Préparez-vous à une surprise… Voyez-vous, notre société, quoique légale, ne constitue qu’une façade… et une source de fonds. Notre vraie fonction, c’est de patrouiller le temps.

 

Voici venue l’heure des ultimes aventures de Manse Everard et ses collègues de la Patrouille du temps au service de l’Histoire… Des aventures qui conduiront nos héros depuis la préhistoire jusqu’à une étrange variante de notre XXe siècle, en passant par la Bactriane du IIIe siècle avant notre ère et le Moyen Âge italien. Car les Exhaltationnistes menacent toujours, sans parler d’un danger plus grand encore qui pourrait bien annihiler jusqu’à la Patrouille elle-même… et nous avec !

 

Poul Anderson (1926-2001) est l’un des grands auteurs classiques de l’Âge d’Or américain, lauréat de trois prix Nebula et sept prix Hugo. Longtemps boudé en France par la critique, considéré outre-Atlantique comme un maître incontestable, on lui doit quelques-uns des livres cultes du genre, dont Les Croisés du Cosmos, Flandry, Hrolf Kraki et, surtout, le cycle de La Patrouille du temps, dont les éditions du Bélial’ ont entrepris la publication dans une intégrale inédite de quatre volumes présentés et traduits par Jean-Daniel Brèque.

Imposant roman publié en France pour la toute première fois, Le Bouclier du temps, ultime volet du cycle de La Patrouille du temps, clôt cet immense classique en apothéose.

 

Avant-propos de Jean-Daniel Brèque.

Postface de Xavier Mauméjean.

 

« Poul Anderson se positionne comme l'un des plus grands spécialistes du voyage dans le temps. (...) Ainsi, au delà du formidable travail de recherche historique de l'écrivain américain, de façon à trouver ce nexus où on ne l'attend pas et propice à une enquête, ce sont des romans où les personnages sont plein d'humanité. SciFi-Universe

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Voisins d'ailleurs

Le grand retour de Clifford D. Simak !

 

Il s'approcha, se pencha, et laissa courir sa main sur le haut de l'objet sans se demander ce qui lui inspirait cette réaction, même s'il songea, un peu tard, qu'il aurait sans doute dû se retenir. Mais ce devait être sans danger, car il ne se passa rien — dans un premier temps. Le métal, ou le matériau évoquant le métal, était lisse sous la paume et son poli semblait abriter une terrible dureté ainsi qu'une force effrayante. Il retira sa main, se redressa et recula d'un pas. La machine émit un unique cliquetis, comme par choix — comme pour attirer l'attention, prouver sa nature et indiquer qu'elle possédait une fonction et entendait l'accomplir avec autant d'efficacité que de discrétion. Telle fut du moins la nette impression qu'il en retira. Puis elle pondit un oeuf...

 

Né en 1904 dans la ferme de son grand-père maternel près de Milville, dans le Wisconsin, Clifford D. Simak fut cultivateur puis journaliste, avant de devenir l'un des écrivains de science-fiction américain les plus traduits au monde. Il est mort en 1988, laissant derrière lui près d'une trentaine de romans — dont l'immense Demain les chiens, réédité rien moins que dix-huit fois en France — et plus de cent nouvelles ; une œuvre considérable empreinte de sensibilité et de nostalgie sans équivalent. Voisins d'ailleurs réunit neuf récits de Clifford D. Simak : quatre inédits et cinq perles depuis longtemps indisponibles et jamais réunies en recueil, proposées ici dans des traductions nouvelles ou révisées, dont « La Grotte des cerfs qui dansent », texte d'exception lauréat des prix Hugo, Nebula, Locus et Analog.

 

« On remerciera doublement Pierre-Paul Durastanti. D’abord de nous proposer une anthologie de short stories d’un auteur emblématique, près de la moitié de ces textes étant inédite en français. Et ensuite de nous rappeler que Clifford Donald Simak, à l’inverse de sa production romanesque, n’a jamais cessé de publier de bonnes nouvelles. »

Le Cafard cosmique

 

« Rarement auteur n'aura en effet aussi bien parlé de l'Homme, de tout ce qui le lie à ce qui l'entoure, sans pour cela sombrer dans un nombrilisme stérile : les nouvelles de Simak se lisent d'une traite, touchent au cœur tout en étant puissamment évocatrices de certains ailleurs, la plupart du temps habillées d'une légère pointe d'humour. »

nooSFere

 

« Un recueil d’une cohérence et d’une progression judicieuses (...), tout à fait sympathique et sans doute salutaire, même, tant ces textes pour bon nombre d’entre eux introuvables auparavant méritent le détour. Je ne suis pas contre une deuxième rasade… »

Nebal

 

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Incarnations

« Et le pire de tout, c'est qu'il ne peut même pas s'offrir le luxe de trembler... »

Incarnations ?

Une ancienne charcuterie industrielle. Un lieu clos, labyrinthique et interactif. Un vieil artiste : Antonin Fabrio, cinéaste et sculpteur sulfureux. Cinq personnes — trois hommes, deux femmes — recrutées pour participer à une expérience extrême. Moyenne d'âge : entre vingt et trente ans. Cinq prisonniers volontaires, enfermés dans ce bâtiment où ils deviennent une matière brute entre les mains du vieil homme. Et très vite, les motivations réelles d'Antonin Fabrio apparaissent : réaliser une œuvre totale et définitive, faire de l'art avec du vivant — transformer ces cinq individus en « bioacteurs » pour les amener à incarner des personnes disparues. La métamorphose commence. Dans la douleur. Car Fabrio est prêt à tout pour parvenir à son but : torture mentale, manipulations, violences physiques... Dans ce lieu fermé, la terreur s'installe. Et pourtant les cinq « bioacteurs » investissent le jeu, apprennent à survivre, à se gérer individuellement et collectivement. À l'intérieur de ce chaos permanent mais orchestré, chacun ira au bout de lui-même, au bout de l'expérience...

Incarnations ?

Grand amateur des littératures transgenre et hors cadres, Xavier Bruce anima pendant plusieurs années la micro-revue critique Translfictions avant de rejoindre l'équipe des collaborateurs de Bifrost, « la revue des mondes imaginaires ». Incarnations, son premier roman, constitue une expérience brutale, un texte choc qui place d'emblée Xavier Bruce très haut dans le panthéon de cette nouvelle littérature française nourrie aux genres populaires et à leurs codes, une littérature qui n'hésite pas à transgresser ses sources pour mieux les réinventer et bousculer son lecteur. Xavier Bruce a 41 ans. Il vit à Paris.

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Warchild - 1

Warchild

Une guerre spatiale, la voie du sabre et l'art de la traîtrise...

Jos Musey a huit ans. Et à huit ans, comme beaucoup de gamins de son âge, il n'a pas la moindre idée de ce que sera sa vie future. En fait, il n'a même aucune idée de ce que sera sa vie dans quelques minutes, car il ignore s'il en aura toujours une, de vie. Quant aux pirates qui attaquent les vaisseaux marchands du ConcentraTerre, des vaisseaux comme le sien, il ne sait que ce que les grands ont bien voulu lui en dire : la mort, l'esclavage, et les choses sans nom que certains adultes font avec les enfants... Et il y a les striviirc-na. Les aliens. Jos en sait encore moins à leur sujet. Juste qu'ils mangent les enfants... et qu'ils ont avec eux le Warboy, le guerrier ultime, l'Ennemi. Mais il y a une chose pourtant que Jos sait à coup sûr. Les combats qu'il entend depuis sa cachette dans les entrailles du Mukudori, les cris, les tirs de laser et l'odeur de fumée sont sans appel : les méchants arrivent et ses parents sont morts...

Née au Guyana, Karin Lowachee vit au Canada depuis l'âge de deux ans. Après des études de lettres à la York Univeristy de Toronto, elle enchaîne quantité de petits boulots. Des expériences qui la conduiront notamment à passer près d'une année à Rankin Inlet, une communauté inuit de quelques centaines d'habitants, dans le Nunavut, sur la côte ouest de la baie d'Hudson. Warchild, son premier roman, lauréat du prix Warner Aspect et finaliste au Philip K. Dick Award en 2002, fut salué pour un accueil public et critique unanime. Elle en a depuis publié deux autres, des romans qui ne constituent pas des suites à Warchild, mais prennent pour cadre la même guerre future. Son prochain livre, The Gaslight Dogs, paraîtra aux États-Unis dans quelques mois.

« Irrésistible... Une histoire poignante servie par des personnages d'une extrême justesse. » Tim Powers

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Le Rêve du démiurge - 7

Le Petit cabaret des morts

Eté 1988.

 

À Viervy, petite ville des Alpes, Yorenn et Romain Algeiba, sœur et frère acrobates, se vouent une passion excessive...

 

À Viervy, lieu de heurt du monde réel et de l’au-delà, vit Alvar Cuervos, fils d’un démon et d’une bohémienne, assistant du secret docteur Malejour.

 

À Viervy, l’amour qui naît entre Alvar et Yorenn, opposés à tout point de vue, engendre le drame : la jalousie destructrice de Romain, le délire de Malejour aveuglé par science et pouvoir, la duplicité d’Alvar, les violences de Yorenn déchirée entre des idéaux contraires, tout se ligue contre eux — et d’abord eux-mêmes.

 

À Viervy, les âmes des morts sont l’enjeu du conflit qui divise les vivants. La guerre s’installe, tributaire des passions des uns et des autres.

 

À Viervy, le merveilleux spectacle qu’Alvar monte dans son Petit Cabaret ne livre rien au public du drame qui se joue en coulisse. Combat des vivants contre les vivants, des vivants contre les morts, des morts contre les morts, l’affrontement finit par s’étendre aux forces telluriques...

 

Francis Berthelot est né à Paris en 1946. Polytechnicien, docteur en biologie moléculaire, puis chercheur dans le domaine de la théorie littéraire, il a obtenu le Grand Prix de l’Imaginaire à quatre reprises et, fait unique, dans quatre catégories différentes — dont celle du meilleur roman pour Rivage des intouchables, chez Gallimard « Folio SF ».

 

Le Petit Cabaret des morts, qui s’inscrit dans l’immense fresque littéraire du Rêve du démiurge, est son onzième roman.

 

« Francis Berthelot réussit l’improbable alchimie de la dureté et de la poésie... » Bifrost

 

« Francis Berthelot cisèle son sujet avec une maîtrise de la langue diabolique. Il nous emmène dans un carrousel maléfique qui, à la fois, distille un malaise insidieux et déverse des images d'un romantisme exacerbé. Une réussite. » Jean-Claude Vantroyen, Le Soir

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