Alain Sprauel est, en France, le spécialiste incontesté des bibliographies de science-fiction et d’imaginaire ; c’est logiquement le plus sollicité par les éditeurs.
Depuis une vingtaine d’années, il a publié près de 150 bibliographies pour Denoël, le Bélial’, J’ai Lu ainsi que pour de nombreuses revues dont Bifrost. Il publie à destination des passionnés le fanzine semestriel Biblio-SF dont chaque numéro comporte une demi-douzaine de bibliographies illustrées en couleurs.
Il est aussi le spécialiste d’auteurs comme Stephen King, Dean Koontz, Serge Brussolo, Pierre Pelot ou Claude Seignolle dont il possède l’intégralité de toutes les éditions de l’ensemble de leurs œuvres !
Enfin, en complément de son activité bibliographique, Alain Sprauel constitue un patrimoine littéraire des œuvres fantastiques en langue française. À l’heure actuelle, il possède près de 10.000 livres !
Alain Sprauel met depuis longtemps ses connaissances au service du public. Il était logique qu’il soit invité aux Imaginales pour parler de sa passion. Pour aller plus loin :
http://www.noosfere.com/icarus/livres/auteur.asp?numauteur=-49153&Niveau=revues http://www.noosfere.com/icarus/livres/auteur.asp?numauteur=-49153 http://lemondedemateo.over-blog.com/article-bibliosf-l-interview-d-alain-sprauel-91867820.html http://www.jack-london.fr/
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« Rappelez-moi comment vous êtes morte ?
– À quel moment ?
– La dernière fois. »
Irem avait l’impression que sa nouvelle main, qui tapotait la table comme un sémaphore courroucé, appartenait à quelqu’un d’autre. Elle n’avait pas encore pris ses marques dans le vacant que l’Institut lui avait attribué. Il lui paraissait flasque, comme une salopette trop grande. Elle passa la langue derrière des dents qui n’étaient pas les siennes et poussa un soupir…
Né au Québec, mais ayant grandi en Californie, Ray Nayler a vécu et travaillé à l’étranger pendant deux décennies – en Russie, au Turkménistan, au Tadjikistan, au Kazakhstan, au Kirghizistan, en Afghanistan, en Azerbaïdjan, au Viêt Nam et au Kosovo, autant de pays dont il maîtrise la langue. Diplômé de la School of Oriental and African Studies de Londres, il est actuellement chercheur invité à l’Institute for International Science and Technology Policy de l’université George Washington. Annoncé en France aux éditions du Bélial’, The Mountain in the Sea, son premier roman, a été célébré par une critique incandescente — de Jeff VanderMeer à David Mitchell — et vient de remporter le prix Locus.
Sans équivalent en langue anglaise, le présent recueil, composé avec l’exigence coutumière de la collection « Quarante-Deux », est l’acte de naissance, aux yeux des lecteurs francophones, d’un auteur de science-fiction contemporain essentiel.
« Rappelez-moi comment vous êtes morte ?
– À quel moment ?
– La dernière fois. »
Irem avait l’impression que sa nouvelle main, qui tapotait la table comme un sémaphore courroucé, appartenait à quelqu’un d’autre. Elle n’avait pas encore pris ses marques dans le vacant que l’Institut lui avait attribué. Il lui paraissait flasque, comme une salopette trop grande. Elle passa la langue derrière des dents qui n’étaient pas les siennes et poussa un soupir…
Né au Québec, mais ayant grandi en Californie, Ray Nayler a vécu et travaillé à l’étranger pendant deux décennies – en Russie, au Turkménistan, au Tadjikistan, au Kazakhstan, au Kirghizistan, en Afghanistan, en Azerbaïdjan, au Viêt Nam et au Kosovo, autant de pays dont il maîtrise la langue. Diplômé de la School of Oriental and African Studies de Londres, il est actuellement chercheur invité à l’Institute for International Science and Technology Policy de l’université George Washington. Annoncé en France aux éditions du Bélial’, The Mountain in the Sea, son premier roman, a été célébré par une critique incandescente — de Jeff VanderMeer à David Mitchell — et vient de remporter le prix Locus.
Sans équivalent en langue anglaise, le présent recueil, composé avec l’exigence coutumière de la collection « Quarante-Deux », est l’acte de naissance, aux yeux des lecteurs francophones, d’un auteur de science-fiction contemporain essentiel.
Mill Valley.
Petite ville paisible de Californie.
Son médecin. Son shérif. Ses commerces.
Et dans les caves de Mill Valley, des cosses.
Elles viennent d’ailleurs.
Elles veulent des corps humains.
Un jour, elles les prennent…
Paru en 1955, en plein maccarthysme, ce classique mondial de la science-fiction paranoïaque a révolutionné la thématique de l’invasion extraterrestre. Il a été adapté au cinéma à de nombreuses reprises, notamment par Don Siegel (1956), Philip Kaufman (1978) et Abel Ferrara (1993).
Ici proposé dans une traduction révisée définitive, ce roman clef de Jack Finney (1911-1995) est largement commenté dans une postface signée Sam Azulys.
« Ce sont Jack Finney et Rod Serling qui, après H.P. Lovecraft, ont fait franchir au fantastique une nouvelle étape dans son évolution. » STEPHEN KING
Mill Valley.
Petite ville paisible de Californie.
Son médecin. Son shérif. Ses commerces.
Et dans les caves de Mill Valley, des cosses.
Elles viennent d’ailleurs.
Elles veulent des corps humains.
Un jour, elles les prennent…
Paru en 1955, en plein maccarthysme, ce classique mondial de la science-fiction paranoïaque a révolutionné la thématique de l’invasion extraterrestre. Il a été adapté au cinéma à de nombreuses reprises, notamment par Don Siegel (1956), Philip Kaufman (1978) et Abel Ferrara (1993).
Ici proposé dans une traduction révisée définitive, ce roman clef de Jack Finney (1911-1995) est largement commenté dans une postface signée Sam Azulys.
« Ce sont Jack Finney et Rod Serling qui, après H.P. Lovecraft, ont fait franchir au fantastique une nouvelle étape dans son évolution. » STEPHEN KING
« D’une brillante variété, les nouvelles rassemblées ici expriment la fusion de la science et des mythes : texture moderne et profondeur hors du temps. »
Chicago Sun-Times
Un retour sur la planète Nivôse, celle du roman La Main gauche de la nuit… La découverte d’une planète inexplorée dont les habitants humanoïdes, contre toute attente, s’expriment dans une langue dérivée du français… Une première approche de cette nouvelle discipline qu’est la thérolinguistique, avec l’étude d’œuvres littéraires écrites par des fourmis… Le récit de la première expédition au pôle Sud, accomplie en secret par des femmes, bien avant la mission de Roald Amundsen… La véritable raison pour laquelle le temps nous échappe…
Vingt récits comme autant d’éclats du talent hors normes d’Ursula K. Le Guin, une préface de David Meulemans, une passionnante interview-carrière de la lauréate du National Book Award et une bibliographie : salué par les prix Locus et Ditmar, voici le deuxième recueil de l’autrice des
« La prose lumineuse d’Ursula K. Le Guin respire l’intelligence. Elle élève la fiction à hauteur de la poésie et lui donne la densité de l’allégorie. »
Jonathan Lethem
« D’une brillante variété, les nouvelles rassemblées ici expriment la fusion de la science et des mythes : texture moderne et profondeur hors du temps. »
Chicago Sun-Times
Un retour sur la planète Nivôse, celle du roman La Main gauche de la nuit… La découverte d’une planète inexplorée dont les habitants humanoïdes, contre toute attente, s’expriment dans une langue dérivée du français… Une première approche de cette nouvelle discipline qu’est la thérolinguistique, avec l’étude d’œuvres littéraires écrites par des fourmis… Le récit de la première expédition au pôle Sud, accomplie en secret par des femmes, bien avant la mission de Roald Amundsen… La véritable raison pour laquelle le temps nous échappe…
Vingt récits comme autant d’éclats du talent hors normes d’Ursula K. Le Guin, une préface de David Meulemans, une passionnante interview-carrière de la lauréate du National Book Award et une bibliographie : salué par les prix Locus et Ditmar, voici le deuxième recueil de l’autrice des
« La prose lumineuse d’Ursula K. Le Guin respire l’intelligence. Elle élève la fiction à hauteur de la poésie et lui donne la densité de l’allégorie. »
Jonathan Lethem
Frank Herbert : intégrale des nouvelles
Réunissant en un même fichier quarante nouvelles et courts romans, dont divers inédits, la présente intégrale numérique, unique en langue française, achève de consacrer l’auteur de Dune pour ce qu’il est, l’un des géants de la science-fiction mondiale, démiurge d’une œuvre proprement fascinante, ironique et tragique.
L’œuvre de Frank Herbert a aussi valeur d’avertissement. Sans prétendre être prophétique, elle annonce la venue des prophètes. Elle témoigne de la seule certitude qui nous demeure, à savoir de la dissolution d’une certaine image de l’homme et des structures sociales, économiques et politiques qui la portaient, et des incertitudes, des angoisses, des conflits et de la violence concomitants à cet interrègne qui prélude peut-être à l’établissement d’un nouvel ordre encore dans les limbes ou à tout le moins indistinct pour nos yeux myopes. Elle nous révèle un avenir peu réjouissant mais pour nous dire après tout que nous y vivons déjà, et comme fait l’œuvre d’Ursula Le Guin, qu’en tant qu’espèce nous y survivrons.
Gérard Klein
Mars. La rouge. L'aride. L'immortelle. Mars où les empires s'entrechoquent et s'effondrent, où les héros naissent à l'ombre d'oriflammes barbares. Mars, ou la fierté d'un héritage culturel indicible et millénaire. Mars, des secrets. Du pouvoir. Mars de la mort. Du souvenir…
Au programme de cette édition exceptionnelle et définitive : L'Épée de Rhiannon, Le Secret de Sinharat, Le Peuple du talisman, Les Terriens arrivent, le tout encadré d'une préface signée Michael Moorcock, d'une postface biographique et d'une bibliographie exhaustive.
« Rares sont les personnes des générations postérieures à la mienne qui mesurent l'influence majeure de Leigh Brackett sur la science-fiction et la fantasy. » – Michael Moorcock