« Si toute préoccupation stylistique est absente de ces pages, on retrouve vite son âme de gosse devant ces intrigues de western transposées à l'échelle de l'espace et menées à toute allure. Coups fourrés, bagarres, astuces et victoire finale écrite d'avance : Capitaine futur, c'est Robin des bois. Mais quand Sherwood a les dimensions de l'univers, ça prend tout de suite plus d'allure. » Télérama
Dans son Journal d'un homme des bois, notre ami Francis Valéry nous raconte ici et là ses différents projets d'adaptation musicale de la nouvelle « Maître Zacharius » de Jules Verne…
« Poul Anderson séduit par son imaginaire, son invitation permanente au voyage à la découverte de l’exotisme. Il le fait habilement, car il en appelle à l’intelligence des protagonistes, en titillant bien sûr aussi celle des lecteurs.
La lecture est dépaysante et plaisante en compagnie de personnages que l’on retrouvera avec plaisir dans de prochaines aventures dans des coins perdus de l’univers, du moment qu’il y a quelque chose à en tirer. » La Yozone
Parce qu'une bibliographie de 90 000 signes, c'est dur à caser dans un Bifrost, découvrez sur le blog, en complément du numéro 87, la bibliographie exhaustive de Jean Ray, concoctée par notre expert en la matière, Alain Sprauel !
« Nous sommes donc dans une science-fiction humaniste, soucieuse d’autrui. Et qui se lit avec un plaisir de lecture manifeste. Ça coule comme du petit lait… Une science-fiction qui repose et qui donne insidieusement à penser. » Daily Passions
« Difficile de ne pas être enthousiaste face à une telle intelligence et tant d’astuces. Le Prince-Marchand est un plaisir de lecture, une gourmandise de l’esprit. Nicholas Van Rijn est à la fois sérieux et comique, un homme riche dans tous les sens du terme.
Poul Anderson, avec la Hanse Galactique, nous offre un space opera original et rafraichissant qui n’a pas pris une ride. En un mot : excellent. » Lecture42
« Un texte efficace donc, qui pose des questions pertinentes. Et même si Le Regard n’est ni le texte le plus ambitieux (difficile de faire mieux que L’homme qui mit fin à l’histoire…), ni le plus touchant (le splendide « La ménagerie de papier », dans le recueil éponyme) de l’auteur, il montre une nouvelle fois à quel point Ken Liu est un fin observateur de notre société. Bravo ! » Lorhkan et les mauvais genres
« Le roman est d’une originalité folle, souvent très poétique dans son exposition, superbement écrit et fort bien traduit par Pierre-Paul Durastanti qui rend parfaitement bien la puissance de l’écriture de l’auteur, mise au service d’une très belle histoire. » Les coups de cœur de Jean-Luc Rivera
« Toujours écrites avec beaucoup de drôlerie, beaucoup de rebondissements et un final qui laisse pantois, ces aventures sont de la bonne SF traditionnelle, celle qui vous fait rêver en vous apportant une bouffée d’optimisme. À lire impérativement, de préférence en sirotant l’une de ces boissons affublées d’un petit parasol. » Les coups de cœur de Jean-Luc Rivera
Dans son Journal d'un Homme des bois, Francis Valéry nous parle de son dernier projet musical en date : Rêves d'hippocampes.