« Toujours intelligentes, toujours pertinentes, invariablement compréhensibles si on se donne la peine de faire un petit effort, vertigineuses dans leur fond et / ou leur forme (les deux, le plus souvent), ces nouvelles sont un incontournable pour tout amateur de (Hard)SF qui se respecte. Elles sont aussi une très bonne porte d’entrée dans l’univers de Watts (…). » Le culte d'Apophis
« Au terme de cette chronique, il faut reconnaître que ce roman léger, qui n’accuse en rien ses quarante-cinq ans d’âge, est à lire autant par curiosité (il est indéniable qu’on y trouve l’une des inspirations majeures du Michael Moorcock du Champion Éternel) que pour se distraire. Terminons en soulignant le sérieux du travail accompli (traduction révisée et bibliographie en fin d’ouvrage — voici un détail qui compte dans une période de rééditions trop souvent bâclées). » Yossarian
Dans son Journal d'un Homme des Bois, Francis Valéry nous raconte l'histoire d'un petit morceau de gingembre, oublié dans un recoin de la cuisine… et pas décidé à se laisser racornir.
« Je ne suis guère collectionneur, a fortiori de beaux livres, mais Gotland figure une appréciable exception, dont je ne doute pas que j’en tournerai régulièrement les pages, à l'instar de mon Kadath, pour m’imprégner de ces lovecrafteries graphiques – celles que l’on dit souvent, et souvent à bon droit, particulièrement périlleuses, mais pour le coup des plus convaincantes. » Nébal
Après Flatland et ses suites, le blog poursuit et termine son incursion dans les livres de dimensions semblables, avec les variations sur la thématique d'un univers bidimensionnel…
Il n'y a pas que la quatrième dimension : il y a aussi la deuxième… En 1884, le clergyman anglais Edwin Abbott Abbott publiait Flatland, un récit se déroulant sur un monde bidimensionnel, tenant à la fois de la fantaisie mathématique et de la satire sociale, et qui allait faire date. Au point d'inspirer adaptations en films, en jeux de rôle, ainsi que des suites… On se penche là-dessus sur le blog.
Dans son Journal d'un Homme des Bois, Francis Valéry ne réagit pas à l'élection de Donald Trump : il s'est aussi passé d'autres choses les 9 et 10 novembre…
« La science-fiction a encore de beaux jours devant elle avec des romans comme L’homme qui mit fin à l’Histoire qui nous font réfléchir sur notre société actuelle et sur l’avenir avec une écriture moderne, accessible et captivante. » Mistinguette
Cet univers vous déplaît ? Avez-vous essayé les autres dimensions ? Dans l'Abécédaire, on suit les explications du romancier et vulgarisateur scientifique Rudy Rucker tente d'élargir le cadre de notre pensée pour mieux entrevoir la quatrième dimension…
Au-delà du gouffre de Peter Watts est désormais disponible, en papier comme en numérique, dans toutes les bonnes librairies et sur bélial.fr !