Les Vandales du Vide
(Vandals of the Void, 1953)
L'homme est en passe de conquérir l’ensemble du Système solaire. Mais en ces temps aventureux où l’horizon humain s’élargit aux proportions du cosmos, alors que les pionniers ouvrent de nouvelles voies à force de courage et d’abnégation, il en est certains pour profiter des mannes de l’espace, et de la pire des manières. L’âge de la piraterie spatiale pourrait bien s’annoncer... Face au mystérieux Basilic et sa flotte de forbans, Dick Murdock, jeune Vénusien ayant rejoint son père astronome dans un observatoire lunaire, semble bien démuni. Il lui faudra pourtant faire preuve de la plus grande inventivité et de ressources inattendues pour espérer sauver ses proches, mais aussi, surtout, préserver la route des étoiles...
Paru en 1953, ultime roman SF inédit en français de l’immense Jack Vance (1916-2013), Les Vandales du vide inaugure la collection « Pulps », un espace éditorial dédié à l’aventure, à la science-fiction grand spectacle, à cette veine première du genre où soufflent les vents de l’épique et du cosmique.
L’actu du livre
- Les Vandales du vide sont là ! (24 mars 2016)
- P.-P. Durastanti en interview (21 mars 2016)
- Gare aux vandales (15 mars 2016)
- Francis Valéry et les Vandales du vide (10 mars 2016)
- Précommande ouverte pour Les Vandales du vide (09 mars 2016)
- Les Vandales du Vide : la couverture maquettée (29 février 2016)
- Introducing Pulps ! (24 février 2016)
- Les Vandales du vide se dévoilent (23 février 2016)
Revue de presse
« Après « Une heure-lumière », voici « Pulps », la nouvelle collection du Bélial’. Une invitation à l’aventure, à de la science-fiction sur grand écran et, surtout, à la distraction sans se prendre au sérieux, voilà comment l’éditeur qualifie ce nouveau label en début d’ouvrage – et quoi de mieux pour commencer qu’un texte inédit (en français). Les Vandales du vide de Jack Vance, paru en 1953, raconte les pérégrinations de Dick Murdock, jeune Vénusien quittant sa planète natale pour rejoindre son père astronome en chef de l’observatoire lunaire. En chemin, il apprend que des navettes ralliant Mars et Vénus à la Terre... » Bifrost
« En résumé, un roman qui, s’il n’est pas un grand Jack Vance, plaira certainement aux amateurs de Pulp SF (et en cela, il atteint parfaitement son objectif), des romans de l’âge d’or de la SF et de Space Opera à l’ancienne. » Le blog uchronique de Daidin
« Pour autant, ce roman possède suffisamment de qualités (action, rebondissements, sense of wonder) pour que le lecteur, surtout nostalgique de ce moment-là de l’histoire de la science-fiction, y trouve son compte. Surtout, Les Vandales du vide est plein d’une qualité : l’innocence. Alors ne boudons pas notre plaisir : vive les pulps ! ActuSF
« Une friandise inattendue signée Jack Vance, agréable comme des retrouvailles après une longue séparation, ça ne se refuse pas. Surtout quand le roman en question, loin d’être un mauvais fond de tiroir, nous fait passer un si rafraîchissant moment. Adjugé. » Librairie Critic