Découvrez la couverture du prochain numéro de votre revue préférée ! Signée Olivier Ledroit, elle illustre le Bifrost 86 consacré à l'auteur de Je suis une légende, L'Homme qui rétrécit et d'une belle kyrielle de nouvelles : Richard Matheson ! Plus de détails sur le sommaire sur le forum.
Les cultures de l'imaginaire — science?fiction, fantasy, fantastique — sont omniprésentes dans notre société à travers tous les médias. Il est temps de coordonner nos forces et notre créativité pour les promouvoir. Construisons ensemble des discours, des actions, tout au long de l'année, et rassemblons?nous pour des états généraux en novembre prochain !
Les éditions L'Atalante, Actu SF, Au Diable Vauvert, Le Bélial', Critic, Mnémos, les Moutons Électriques et la Volte vous invitent à signer cet Appel à la mobilisation des acteurs de l'imaginaire.
« En conclusion, Gotland est un très bel ouvrage, qui ravira tout fan de Lovecraft qui se respecte. Il convaincra même ceux qui sont d’habitude hermétiques aux « beaux livres » : j’en fais partie, et il m’arrive d’ouvrir de nouveau le livre quelques minutes, juste pour le plaisir de se plonger dans telle ou telle illustration et d’y découvrir un nouveau détail inconnu jusqu’alors. Il peut aussi servir de source d’inspiration pour les Gardiens des Arcanes désireux d’étayer leurs scénarios de sublimes illustrations. C’est une réussite, et il ne reste plus à espérer que le reste de la collection Wotan soit du même calibre. » Elbakin.net
Derniers jours pour lire en ligne ou télécharger gratuitement « Les Harpistes de Titan », une aventure de Capitaine Futur signée Edmond Hamilton !
« Le rêve mécanique imaginé par Ekaterina Sedia offre de belles pistes de réflexions sur ce qui fait l’humain. Son style très poétique exprime la douceur de Mattie qui ne manque cependant pas de détermination, et dépeint la ville entre onirisme et cauchemar. Il y avait matière à roman beaucoup plus développé tant d’un point de vue social que politique, mais l’auteur s’en tient à son personnage principal, une femme de fer dont les rouages psychologiques séduisent par leur sensible humanité. L’esthétique, à l’évidence steampunk, transcende donc le genre du même nom pour amorcer une réflexion sur la puissance créatrice, la domination (du créateur sur la créature, de l’homme sur la femme) et la féminité. » Mes Imaginaires
Cette semaine dans l'Abécédaire, on replonge dans la SF est-allemande avec Ultrasymet bleibt geheim, on fait l'expérience d'un premier contact extraterrestre avec La Voix du maître de Stanislas Lem, et on joue à The Wolf Among Us adapté du comics Fables…
Après L'Homme qui mit fin à l'histoire, Ken Liu fait son retour dans la collection Une-heure lumière avec Le Regard, novella à paraître le 15 juin 2017. Découvrez la couverture, comme toujours signée Aurélien Police.
« Entre poésie et froide cruauté, ce livre dresse un portrait connu mais insuffisamment combattu d’un tourisme devenu de masse et où les victimes, droguées ou alcoolisées, ne sont pas en mesure d’être consentantes. C’est étouffant. Et tout ce que l’on souhaite, finalement, c’est sortir des rues moites et suintantes de cette amorale cité. Avec Dragon. » Une certaine culture
« Si Les vandales du vide de Jack Vance, le premier volume de la collection Pulps, accuse clairement son âge alors qu’il est plus récent (1950), la série du « Capitaine Futur » se révèle d’un tout autre calibre. C’est du space op’ qui fait oublier ses défauts inhérents à l’ancienneté, par une aventure de tous les instants avec un grand A. La galerie de personnages marque les esprits et ensemble ils sont capables de surmonter toutes les épreuves. En leur compagnie, les lecteurs peuvent se promener sur les surfaces les plus inhospitalières en toute insouciance et sans tiquer. La magie Edmond Hamilton fonctionne à plein. » La Yozone
« Au final, si vous vous lancez dans cette lecture sans attentes irréalistes, vous aurez affaire à un roman fort dépaysant, montrant des aventures exaltantes dans un système solaire où tout est possible, marqué par une foi et optimisme réjouissants envers l’être humain, la science, le futur. Voilà une lecture « reposante », agréable, pas prise de tête, qui représente une des plus nobles expressions de la littérature de l’imaginaire populaire. » Le Culte d'Apophis