« De bout en bout c'est donc de la belle ouvrage, supérieur imho à un premier opus qui était déjà de fort bonne qualité, d'autant que c'est encore une fois abondamment illustré par un Nicolas Fructus au mieux de sa forme. À lire. » Quoi de neuf sur ma pile
Sur le forum, découvrez la couverture, par Stéphane Perger, de La Géante et le Naufrageur de Léo Henry ! Cette première incursion dans l'Archimonde paraîtra le 8 juin.
La sortie du jour, c'est Connexions de Michael F. Flynn ! Traduit avec panache par Jean-Daniel Brèque et illustré avec brio par Aurélien Police, cette novella est désormais disponible dans toutes les bonnes librairies de ce continuum et sur belial.fr.
La Première ou dernière, suite de Noon du soleil noir de L.L. Kloetzer (texte) et Nicolas Fructus (illustrations), est maintenant disponible !
La précommande est maintenant ouverte pour La Première ou dernière de L.L. Kloetzer. Illustré par Nicolas Fructus, cette suite de Noon du soleil noir sortira le 30 mars en papier comme en numérique.
Vous avez lu les cinq volumes de « Terra Ignota » et avez envie d'en causer avec d'autres lecteurs et lectrices ? Ça tombe bien, la librairie Le Nuage Vert (Paris 5e) organise le 21 mars une soirée au sujet de la saga romanesque et futuriste d'Ada Palmer…
Sur le forum, découvrez la mise en couleurs de l'illustration de Stéphane Perger pour La Géante et le Naufrageur, premier volet des « Mille Saisons » de Léo Henry ! Arrivée en librairie le 8 juin.
« Après un Eifelheim magistral mais pas forcément à même de séduire tous les publics, on tient là sans conteste une novella à même d’imposer en France, ENFIN, Michael Flynn comme un auteur reconnu comme majeur, comme cela aurait dû être le cas depuis toujours. » Le Culte d'Apophis
Découvrez sur le forum quelques-unes des illustrations intérieures de Nicolas Fructus pour La Première ou dernière de L.L. Kloetzer ! La suite de Noon du soleil noir sortira le 30 mars.
« Connexions est un texte de pur plaisir pour les amateurs de science-fiction, délirant à souhait, emplis de références, qui rompt l’ennui des lectures récentes et convoque des images rappelant au lecteur désabusé ce pourquoi il entretient depuis l’adolescence une bibliothèque qui déborde de titres de science-fiction. Il n’y a pas de hasard. » Sur l'Épaule d'Orion