Sur le blog, l'Abécédaire repart pour un nouveau tour d'alphabet. L'occasion de se perdre dans les jeux de miroirs de 7 de Tristan Garcia, de se creuser la tête avec le jeu Antichamber, de rire (ou non) avec Le Livre des Blagues de Momus et d'écouter Le Chant des étoiles…
« Il n’empêche que le bilan global côté texte est plutôt satisfaisant (voire très). Le bilan des illustrations est lui tout à fait excellent, avec des images pleine page à tomber par terre, aussi bien que des illustrations plus petites voire des croquis tout à fait évocateurs. Ces illustrations sont d’ailleurs toujours en adéquation avec le texte, il y a un vrai « jeu » consistant à aller de l’un à l’autre. » Lorhkan et les mauvais genres
Un dossier exhaustif sur le pape de la hard science !
« À chacun de se faire une idée, pour ma part, cette tétralogie m'a captivé de son début à sa fin, par son originalité, sa vivacité, sa galerie de personnages troubles, ambigus, pouvant franchir à tout moment la ligne séparant le bien du mal… » Appuyez sur la touche lecture
«Car le bilan global est tout à fait positif. Aux comptoirs du cosmos m’a bien plus convaincu que Le Prince-Marchand, et, dois-je dire, c’était sans doute exactement le livre que j’avais besoin de lire en ce moment : quelque chose de léger dans le ton mais certainement pas bête pour autant, des idées ingénieuses et de l’aventure, l’émerveillement permanent d’une SF exotique et rusée, débordant d’imagination. « Old school », oui, mais de la plus belle eau – au point où l’on peut aisément faire abstraction de quelques faiblesses récurrentes, et sans doute typiques de l'époque, humour un peu lourdingue et personnages féminins navrants. » Nébal
« 24 Vues du mont Fuji, par Hokusai est une novella admirable. Sans aller forcément jusqu’à parler de chef-d’œuvre, car il est quelques aspects du texte qui convaincront plus ou moins, fonction des attentes du lecteur, c’est un très bon récit, d’une étrange beauté, pas si sereine. » Nébal
« Et concluons en saluant Les Perséides comme un hommage fort à la science-fiction, genre populaire s'il en est, décrié souvent, et pourtant, porteurs de valeurs, de pensées, de questionnements… Sans oublier le rêve (proche du cauchemar, quelquefois), l'imaginaire qu'on stimule, qu'on aiguise… Et qui nous permet de grandir… » Appuyez sur la touche lecture
« La capacité du livre à suggérer sans montrer est d'ailleurs une de ses forces. Pour le reste, c'est un roman de genre, assumé et décomplexé, assez court, accrocheur, bien fichu, qui enchaîne les références à la culture populaire et joue avec nos peurs les plus profondes. » Touchez mon blog, monseigneur
« Poumon vert se révèle au final comme un des points d’orgue de la collection « Une Heure-Lumière », pour ne pas dire comme LE point d’orgue d’une collection qui a su séduire par son exigence. » Yossarian
La conclusion épique de la tétralogie des Origines de Stéphane Przybylski !