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Quelques critiques en plus

À lire sur le blog, un tout bref addendum au cahier critique du Bifrost 87 spécial Jean Ray, où l'on se penche sur une poignée de livres à la frontière des genres qui nous intéressent ou qui ne sont pas parvenus à convaincre complètement la rédaction…

Capitaine Futur chez Télérama

« Si toute préoccupation stylistique est absente de ces pages, on retrouve vite son âme de gosse devant ces intrigues de western transposées à l'échelle de l'espace et menées à toute allure. Coups fourrés, bagarres, astuces et victoire finale écrite d'avance : Capitaine futur, c'est Robin des bois. Mais quand Sherwood a les dimensions de l'univers, ça prend tout de suite plus d'allure. » Télérama

Aux comptoirs du cosmos dans la Yozone

« Poul Anderson séduit par son imaginaire, son invitation permanente au voyage à la découverte de l’exotisme. Il le fait habilement, car il en appelle à l’intelligence des protagonistes, en titillant bien sûr aussi celle des lecteurs.
La lecture est dépaysante et plaisante en compagnie de personnages que l’on retrouvera avec plaisir dans de prochaines aventures dans des coins perdus de l’univers, du moment qu’il y a quelque chose à en tirer. » La Yozone

Poumon vert chez Daily Passions

« Nous sommes donc dans une science-fiction humaniste, soucieuse d’autrui. Et qui se lit avec un plaisir de lecture manifeste. Ça coule comme du petit lait… Une science-fiction qui repose et qui donne insidieusement à penser. » Daily Passions

Le Prince-Marchand chez Lecture42

« Difficile de ne pas être enthousiaste face à une telle intelligence et tant d’astuces. Le Prince-Marchand est un plaisir de lecture, une gourmandise de l’esprit. Nicholas Van Rijn est à la fois sérieux et comique, un homme riche dans tous les sens du terme.
Poul Anderson, avec la Hanse Galactique, nous offre un space opera original et rafraichissant qui n’a pas pris une ride. En un mot : excellent. » Lecture42

Le Regard chez Lorhkan

« Un texte efficace donc, qui pose des questions pertinentes. Et même si Le Regard n’est ni le texte le plus ambitieux (difficile de faire mieux que L’homme qui mit fin à l’histoire…), ni le plus touchant (le splendide « La ménagerie de papier », dans le recueil éponyme) de l’auteur, il montre une nouvelle fois à quel point Ken Liu est un fin observateur de notre société. Bravo ! » Lorhkan et les mauvais genres

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