« Warchild est au final une excellente surprise, évitant le schéma classique des space opera dits « militaristes » pour se concentrer sur les rapports humains avec une justesse et une subtilité impressionnantes. Malgré sa taille assez conséquente (560 pages), le roman se lit vite : il est captivant de bout en bout, les pages défilent sans que l’on s’en rende compte. Si les romans suivants de Lowachee sont du même tonneau, on pourrait assister ici à la naissance d’une auteure de premier plan nous offrant un divertissement de haut vol. »
ActuSF
« Découvertes, redécouvertes, illusions, désillusion, science, aventure, action nerveuse, poigne, tripes, visions cosmiques... Ce bouquin vous attrape et ne vous lâche plus. On en a largement pour son argent et pourtant, tremblant, déjà en manque, on voudrait que ça continue... » Le Cafard cosmique
« Entre la Hard-Science de A. C. Clarke et les délires imaginatifs des années 50 style Jack Williamson : la saga des Xeelees se doit d’être dans toute bibliothèque de SF. » Mass Biolab
« Gravité est un très bon tome introductif. On a hâte de découvrir la suite de ce fameux cycle des Xeelees, qui ne sont que cités une fois en fin de livre. Quelle est cette mystérieuse espèce intelligente ? Quelles interactions pourront bien avoir les êtres humains avec eux ? » ActuSF
« Ce premier tome du cycle des Xeelees se lit avec grand plaisir et, s'il forme une aventure à part entière qui peut se lire indépendamment de ses suites, il donnera envie au lecteur de continuer l'exploration de cet univers étrange et passionnant, parfaitement mis en image par la force d'évocation de Stephen Baxter. » nooSFere
« C'est donc par ce roman que commença la carrière de Stephen Baxter. L'auteur a déjà un talent de conteur et une facilité à romancer les notions complexes de la physique. » SciFi-Universe
« Un excellent livre d'anticipation tendance cyberpunk. » La Guerre de trois
« Ambiance survoltée, de l’action à quasiment toutes les pages, L’Ecole des Assassins est un roman vif et violent. » ActuSF
« Une pure série B, nerveuse, rapide et violente. » Galaxies
« Écrit à quatre mains, L'École des assassins est un roman vif et enlevé, que l'on dévore en quelques heures. On y retrouve bien évidemment la fureur d'écrire de Thomas Day et on découvre une situation historico-politico-économique complexe certainement conçue par Ugo Bellagamba. Un de ces petits plaisirs qui n'ont rien de honteux. » Keep Watching the Skies