Le Crépuscule des dieux : la couverture
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Découvrez la couverture, signée Aurélien Police, du Crépuscule des Dieux, quatrième et dernier tome de la tétralogie des Origines de Stéphane Przybylski, en librairie le 21 septembre !
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Découvrez la couverture, signée Aurélien Police, du Crépuscule des Dieux, quatrième et dernier tome de la tétralogie des Origines de Stéphane Przybylski, en librairie le 21 septembre !
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Quatre romans de Thierry Di Rollo sont dès à présent disponibles en numérique : La Lumière des morts, Meddik, La Profondeur des tombes et Drift !
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Dans son Journal d'un Homme des bois, notre ami Francis Valéry fait le point sur ses deux albums Kogarashi et Rêve d'Hippocampes…
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« Le Regard est un joli texte qui mérite d’être lu pour le traitement de son sujet comme pour l’histoire à la fois prenante et touchante. Une belle lecture donc, qui donne envie de lire toujours plus de textes de Ken Liu ! » Nevertwhere
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Cette semaine dans l'Abécédaire, on s'intéresse de nouveau au cinéaste tchèque Jan Švankmajer, avec son dernier film en date, Survivre à sa vie, et l'on écoute le quatrième album de Boards of Canada, Tomorrow's Harvest, bande-son pour un monde moribond…
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Cette semaine dans l'Abécédaire, on s'intéresse de nouveau à Stanislas Lem, avec ses réjouissantes critiques de livres inexistants et son polar métaphysique Le Rhume, et l'on interroge les liens entre faits et fiction avec Que faire de ce corps qui tombe de John D'Agata et Jim Fingal…
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« Une simplicité travaillé pour délivrer un message fort et sensible sur notre monde futur et la tendance humaine à la surenchère, tout en jouant sur les contradictions. Un regard sévère sur le monde de demain… » Albédo – Univers imaginaires
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Quatre titres de Thierry Di Rollo jusqu'à présent indisponibles en numérique le seront à partir du 17 août : La Lumière des morts, Meddik, La Profondeur des tombes et Drift. Ils sont dès aujourd'hui disponibles à la précommande !
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» C’est bien rythmé, bien construit. Le personnage de Miro Hetzel est effectivement un lointain clone de ces personnages de privé que le roman noir affectionne. Cela donne des passages savoureux. Au final, ce Miro Hetzel est une preuve de plus du talent du génial Jack Vance, auteur qu’il ne faut surtout pas laisser tomber dans l’oubli. « Le Salon littéraire